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Sur une vingtaine de rythmes différents, entièrement originaux, le joueur doit frapper des boutons dans l'ordre et avec le plus de précision possible. Jusqu'ici, on est en terrain connu. Mais une fois une séquence reproduite, le jeu offre au joueur de 1 à 3 Beatniks, des sortes de haricots façon Puyo Pop qui devront être placés dans une roue de Beatniks pour être éliminés. Il faut aligner trois Beatniks d'une même couleur pour les supprimer de la roue, tout en sachant que des combos sont bien entendu possibles et qu'il ne faut absolument pas que la roue se complète. Ainsi, si un Beatniks touche le premier Beatniks de la roue, c'est le Game Over assuré. Un peu comme si c'était le haut de l'écran d'un nostalgique Tetris, du moins en quelques sortes.
Nous voilà donc partis, que ce soit en mode solo ou en multijoueur, à travers plusieurs rythmes, à essayer de supprimer le plus vite possible les haricots de couleurs d'une roue infernale. En solo, que ce soit dans les trois modes de difficulté disponibles, le challenge n'est pas très complexe pour tous les habitués des deux genres. Mais cela se corse forcément en multijoueur où la concurrence est rude et exemplaire. Mieux encore, quelques autres modes de jeu, Endurance et Défis, viennent donner un peu d'originalité à des phases solitaires légèrement répétitives. Niveau durée de vie, il n'y a donc pas trop de quoi se plaindre, surtout si on veut obtenir tous les succès.
Mais Go Go Break Steady n'est pas exempt de défauts. Tout d'abord, le manque de musiques connues fait forcément tache face aux productions actuelles, et ce même s’il s’agit là d’un titre Xbox Live Arcade. Mais surtout, les non amateurs de Hip Hop et de musiques de rue ont complètement été oubliés. On aurait apprécié qu'il y en ait pour tout le monde, mais ce n'est pas le cas. Un défaut mineur qui méritait tout de même d'être signalé.
Point complet
On a adoré : + Plutôt joli + Facile d'accès + Propose un très bon concept ! |
On n'a pas aimé : - Des musiques redondantes |
Consulter les commentaires | Article publié le 05-08-08 par William B. |