Fraîchement sorti, et aussitôt débarqué sur le Gamepass, Little Kitty, Big City, est le premier jeu développé par les américains de Double Dagger Studio. Le titre propose au joueur de se mettre dans la peau d’un chat et d’explorer un quartier de la ville. Attention allergiques aux chatons mignons et aux jeux de mots douteux, s’abstenir ! Saurez-vous devenir un espion aux pattes de velours ?
Tout commence lorsque notre héros s’adonne à son activité favorite : la sieste à la fenêtre. Mais les choses se gâtent lorsqu’un étirement mal calculé l’entraîne quelques étages plus bas, dans les rues de la ville, milieu totalement inconnu pour cet animal ayant toujours vécu dans le confort douillet de son appartement… Son instinct reprend vite le dessus, et le joueur pourra compter sur l’aide d’autres animaux pour l’aider à retrouver ses humains de compagnie. Le Chat (puisqu’il n’a pas d’autre nom, à part celui que vous lui donnerez) va alors se lancer à l’assaut de la ville pour reprendre des forces à l’aide de savoureux poissons chat-pardés deçi-delà , mais également se livrer à des activités typiquement félines : casser les pots de fleurs, voler de la nourriture, se cacher dans des cartons..., et surtout, trouver les coins de sieste les plus accueillants ! Toutes ces activités donnent lieu à des petits défis secondaires qui agrémentent l’exploration de la ville, sans compter les « coups de patte » occasionnels aux animaux en détresse. En ville, il y a des humains, à vous de décider si vous allez vous comporter comme une adorable boule de poils et ronronner à leurs pieds, ou alors choisir la voie du petit démon poilu, qui saccage tout sur son passage, et se régale à se précipiter dans leurs jambes pour les faire trébucher...
Pour se glisser dans le soyeux pelage du chat, le joueur pourra réaliser les actions suivantes à la manette : sauter, se tapir, ramper, et touche indispensable, la touche Y qui permet à notre félin de miauler. Et si elle est maintenue, elle donne accès à diverses expressions de son humeur féline. La maniabilité est plutôt bonne. En revanche, la caméra a tendance à être capricieuse, en particulier dans les recoins. Côté technique, nous avons rencontré quelques freezes dus à des bugs de collision (3 fois en 4h), mais la sauvegarde automatique très fréquente nous a permis de reprendre sans perte de progression. Si vous souhaitez aller à l’essentiel et ramener la bête chez elle au plus vite, il ne vous faudra que 2 (très) petites heures, mais ça serait là perdre une grande partie de l’intérêt de jeu et de son univers mignon et coloré, avec le plaisir de l’exploration, des quêtes annexes, des découvertes et collectibles (justement dosés), qui vous occuperont quelques heures de plus. Les graphismes et les dialogues (très amusants) s’accordent à merveille avec cet océan de « mignonitude ».
On a adoré : Être un chat L’univers mignon et coloré Les dialogues amusants Une ville bien remplie De nombreuses activités annexes |
On n'a pas aimé : Caméra capricieuse dans les recoins Quelques bugs de collision |
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