Tonton Vegakiller raconte... GTA San Andreas
- Publiée le 04.07.2016, à 18:36
- Par Vincent P.
De tous les jeux vidéo de l’histoire de l’univers des pixels animés,
Grand Theft Auto : San Andreas a été le seul et unique que j’ai suivi jour après jour dans la presse, qui m’a donné terriblement envie et qui au final est allé encore plus loin que tout ce que je pouvais imaginer. Et ça, mes amis, c’était pendant ce qu’on peut appeler l’âge d’or du jeu vidéo.
« Pas coolos. Tou crachos ton herbos ou j'éclatos ta têtos »
Le plus cool dans San Andreas, ce n’est pas d’être un petit gangster de quartier qui aspire à devenir le maître de Los Santos. Non, non. Ce n’est pas non plus, pour les moins gâtés de la nature, d’incarner un black, de savoir ce que c’est d’être monté comme un poney et de pouvoir se sculpter un corps de rêve en appuyant frénétiquement sur le même bouton. Non plus. Ce n’est pas non plus les trois villes gigantesques à explorer, coupées les unes par les autres par des petites bourgades de campagne ou de désert. Non, non. C’est en fait tout ça à la fois et bien plus encore. Le jet-pack, le base-jumping, les avions de chasse, les vélos, la guerre des territoires, les jeux d’argent, les moissonneuses-batteuses, la customisation des voitures ou du héros CJ, la restauration dans le fast-food du coin, les petites amies... Et tout ça sans parler des traditionnelles missions secondaires, des objets à collecter et des missions principales magistralement orchestrées et scénarisées, le tout dans une ambiance soignée et travaillée.
C’est simple, dans GTA San Andreas, on peut tout faire. Je me revois encore dévalant des collines à la campagne, poursuivi par plusieurs voitures de flics en chantant « Welcome to the jungle ». Après ça ? Pourquoi ne pas aller faire un petit black-jack à Las Venturas ? Ou alors jouer à deux sur le même écran ! Même si ce « multijoueur » n’était pas franchement abouti, il y avait quand même moyen de passer un bon moment. Je me rappelle d’ailleurs avoir passé mon temps à écraser mon frère avec une bagnole, pour son plus grand bonheur… Mon petit plaisir personnel, c’était de prendre un 747, de foncer dans le plus haut immeuble du jeu et de sauter en parachute à la dernière seconde. Oui, oui, je sais, ce n’est pas terriblement sain comme trip. En tout cas, San Andreas est un jeu fun, cool, drôle et gigantesque où on peut faire quasiment tout ce qu’on veut. Et ça, c’est carrément le pied.
Le verdict de Tonton Vegakiller // Apprends à piloter mec, tu n'as pas une bi*e de 50cm dans le cul ?
À l’époque, tous les médias avaient donné d’excellentes notes à San Andreas. Je me souviens même du magasine PSM2, que j’appréciais tout particulièrement, qui lui avait donné 21/20 parce que, je cite (plus ou moins, vous ne m’en voudrez pas si je ne me souviens pas de la phrase exacte) « la froideur chirurgicale d’un 20/20 ne correspondait absolument pas au sentiment général qui se dégageait après avoir joué au jeu ». Et franchement, peu importe les notes, ce GTA est juste une pure tuerie, le meilleur de la série sans appel pour ma part, et sans conteste dans mon top 10 des meilleurs jeux de tous les temps. Rien que d’en parler, j’ai envie d’y retourner ! |
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