J'ai répondu au sondage "Parce qu'ils véhiculent principalement les clichés du jeu vidéo" mais les 3 réponses sont autant valable les unes que les autres.
De nos jours, les jeux vidéos évoluent sans cesse, laissant place à des scénarios de plus en plus réalistes, proches de la réalité. Ainsi on peut voir des faits divers comme un gamin de 3 ans qui tue ses parents avec un gun posé sur une table à sa porté et sans sécurité et dans les journaux, l'info retranscrit, "la faute serait manifestement de la nunchuk de la Wii ?!" et cette exemple est vrai et récent! Alors pourquoi la médiatisation du jeu vidéo est négative à ce point? Qu'est ce qui fait que la faute est rejeté sur le jeu vidéo? Tout simplement un manque évident de cohérence de la part de ces acteurs extérieurs qui critiquent seulement afin de trouver une cause qui pourra faire débat sur un sujet aussi critique qu'un suicide, un meurtre ou autre évènement quelconque ayant entrainé la mort ou des blessures. Que peut on dire du jeu vidéo? qu'il est violent et que son réalisme pousse à répéter les actions que l'on peut interpréter dans celui ci, comme les GTA-like qui sont souvent la cible d'attaques médiatiques sur certains faits divers qui seraient directement en rapport avec. Dans ce cas là, pourquoi ne diraient-on pas la même chose des films, clips de musique et autres plateformes de communication? Et bien la censure permet de pallier à ce problème, des systèmes sont mit en place tel que la limitation d'age pour tel ou tel jeu selon son degré de violence, de sexe, de vulgarité etc. Mais ce n'est pas assez, aujourd'hui on constate encore des décisions gouvernementales (comme en suisse où ils veulent interdire les jeux dits "violents") d'ampleur et visant non seulement à censurer le jeu vidéo mais aussi parfois à clairement le supprimer du marché. Il faut arrêter de se leurrer et s'investir davantage dans le débat. Le jeu vidéo n'influe pas sur le comportement de chacun, chacun choisit de faire tel ou tel acte de son plein gré, ce n'est pas le jeu vidéo qui l'a incité et pris par la main pour faire l'acte qui sera réprimer par la suite et qui sera sujet à un débat concernant l'implication du jeu vidéo. Les "règles qui sont dictées par la PEGI et l'ESRB sont là pour avertir un certain publique que le contenu d'un jeu n'est pas approprié à un certain publique (tel que les God of War, Gears of War etc ...). Et là ce n'est pas la faute du jeu vidéo qui est remise en cause, mais celle du vendeur qui va vendre son produit qui est pourtant signifié comme "interdit" à une certaine tranche d'age et celle du parent qui va acheter à son enfant de 10 ans un jeu avec un règlement PEGI de 18 ans. L'éducation est plus visé dans ce cas présent que le jeu vidéo lui même. C'est exactement pareil que si l'on montrait un film X ou de guerre avec des scènes violentes ou choquantes à son enfant, le geste est le même. Le problème c'est qu'aujourd'hui, les parents ne font plus attentions à ce qu'ils achètent à leurs minots et qu'ils leur prennent tout et n'importe quoi pour telle ou telle raisons. Il en va donc de l'éducation et du respect de certaines limites à ne pas franchir, et non d'envoyer tout ce paquet de conneries futiles sur le jeu vidéo, qui lui est fait afin de satisfaire un public variant entre chaque jeu. La morale de cette histoire, c'est que si vous ne voulez pas que votre gamin aille mettre des coups de poêles au voisin, ne lui achetez pas Left 4 dead 2 s'il à 8 ans ^^ (petite touche humoristique ça fait pas d'mal pour apaiser ce débat qui ressort souvent et dont la réponse est si facile |
Pourquoi le jeu vidéo porte-t-il autant à polémique de nos jours? Cette critique va même souvent de paire avec la croissance de cette industrie. Alors le jeu vidéo, et ses pratiquants seront-ils à tout jamais l'objet de "raillerie"?
Tout a commencé il y a bien longtemps à l'époque où la pratique du jeu vidéo était marginale. Les adeptes de cette activité ont vite été connotés de "no life", d'étranges personnages, alors qu'en réalité il n'était que les précurseurs d'un nouveau loisir. Cela a été le prix à payer jusqu'à l'apparition des jeux casual gamer qui ont sensibilisé toute la famille. Cette première étape franchie il y a quelques années grâce, notamment, à la DS et la Wii a permis de démontrer que le jeu vidéo ne traitait pas uniquement que de sujets violents, et qu'au contraire il pouvait même être utile à la vie quotidienne(santé, mémoire, ...). Les gens ce sont alors peu à peu ouvert à ce "nouveau monde", faisant ainsi de plus en plus d'adeptes. Cependant les jeux, grâce à l'évolution des technologies, sont devenus de plus en plus réalistes, et abordant des thèmes d'actualités. Il vrai que les jeux n'abusant pas de M-16 ou grenade ne sont plus aussi nombreux qu'auparavant. Mais est-ce la faute au joueur alors qu'au quotidien l'actualité est bercée par les violences de rue, ou la guerre et attentats!!?? Et c'est justement là que le rapprochement a été fait entre d'une part la réalité, et le vidéo-ludique que nombreux ont été à accuser "d'inciter à les joueurs à plus d'agressivité". Ceci à d'autant plus été amplifié par les divers accidents dans les établissements scolaires, notamment, où le jeu vidéo a fait un parfait bouc émissaire. Cependant il est aussi à notifier que bien peu se soucie des classifications présentes sur chaque jeu aussi les parents, que les commerçants! Alors pourquoi accuser ce loisir alors que l'image négative qui lui est si souvent attribuer n'est que le résultat de nos modes de vie, nos comportements, notre éthique. Le jeu vidéo ne serait-il pas lui même la victime de cette tendance toujours plus grande pour la violence, et le sensationnel? Des jeux vont pourtant au devant de monde lyrique, et de l'originalité faisant travailler l'imagination des joueurs. Mais pourquoi ces jeux ne rencontrent-ils pas le succès espéré? Depuis toujours le jeu vidéo a été la cible de nombreuses et diverses attaques. En autre terme, il est pour de nombreux acteurs la parfaite victime de l'ampleur que prend le multimédia dans notre vie de tous les jours, et qui effraie tant de monde face à un progrès inévitable. |
« Parce qu'ils pointent du doigt les dérives ». Il ne faut pas nier le fait que le jeu vidéo dérive peu à peu dans une banalisation de la violence dans un secteur associé dans un premier temps au divertissement pour enfant. Il y a des dérives, mais ce n’est pas avec de la censure totale que l’on peu améliorer les choses. Un jeu violent est un divertissement destiné à l'adulte, il ne faut pas l’associer à la jeunesse, on voit ici la méconnaissance du sujet par les autorités.
Le sujet à toujours crée la polémique entre les joueurs et les instances étatiques. Il est évident qu’il y a un manque de connaissance de ce secteur d’activité par le pouvoir politique avec notamment les propos de Nadine Morano. Le jeu vidéo à un avenir très prometteur avec un enjeu économique avéré. Plusieurs éléments sont négatifs pour ce secteur, son image, sa définition… La secrétaire d’état attaque vulgairement le jeu vidéo avec des propos déplacés et d’une idiotie vérifiée. « J'explique à mes enfants très concrètement pourquoi ce jeu est un jeu violent, un jeu addictif, avec des images inacceptables. » Elle joue avec ses enfants à GTA4 pour leurs montrer les effets négatifs du jeu, mais elle va à l’encontre des normes mise en place par la profession avec les normes PEGI. Faire jouer ses enfants à des jeux violents pour appuyer ses propos dans la presse est réellement ridicule. Elle va à l’encontre de la PEGI, certes pour montrer l’inefficacité de la norme sur certains points mais montre également l’irresponsabilité des parents face aux jeux vidéo. C’est un débat que l’on retrouve dans beaucoup de pays, dernièrement avec la Suisse. Il faut aussi observer la vue du secteur du jeu vidéo. Le terme jeu vidéo est peut-être dorénavant incompatible car on associe jeu avec enfants, un jouet. C’est peut-être un débat moindre, mais le changement de se terme peut être une solution à certains problèmes et aider à améliorer l’image négative du secteur. Ce débat doit être étudié très sérieusement par le monde du jeu vidéo. La législation doit être améliorée et les usagers du jeu vidéo ne doivent pas non plus resté sur leurs positions avec un refus catégorique de débattre sur l’interdiction de jeu violent. Elle est peut-être nécessaire, bien évidemment, il ne faut pas censurer les développeurs mais placer des interdictions à la source du problème, c'est-à-dire l’âge. Un contrôle parental obligatoire, une signalisation des normes PEGI au moment de la vente du jeu avec des conseiller et à l’image de l’Allemagne, cacher la violence aux plus jeunes. Lorsqu’un parent rentre dans un magasin spécialisé avec son fils ou sa fille de 8 ans, il ne veut pas que son enfant soit témoin de scènes d’atrocités et que cela puisse le choquer. Il est peut-être nécessaire d’obliger les commerçants à placer des barrières entre jeu à caractère violent et non violent dans leurs magasins. Il y a une banalisation de la violence, c’est un effet de mode avec la télévision en première ligne suivi d’internet. La norme PEGI est une protection pour les enfants, il ne faut donc pas accabler le secteur du jeu vidéo mais les personnes qui méconnaissent ce secteur. La mise en place d’un contrôle parental simple et obligatoire sur les consoles et PC est nécessaire. On peut voir un effet négatif certain sur la mentalité des adolescents, cela forme une mentalité et un comportement. On a un système de contrôle parental, il faut le rendre obligatoire. L’Etat veut protéger l’innocence des enfants et il a raison, pour cela il faut donc des mesures concrètes et adaptées, mais qui ne porte pas atteinte à d’autres usagers. Donc non à la censure mais oui à la protection des jeunes. |
le problème de la vision extérieur négative n'est pas réservée aux jeux vidéos, à chaque fois qu'un loisir marche chez les jeunes, tout une frange de la population se laisse guider par des hommes politiques cherchant le "problème à résoudre", des pseudos journalistes désireux de racoler le public, voir certaines associations s'autoproclamant "bien pensante".
le pire c'est que tout ce beau petit monde diabolise le loisir ciblé sans même s'y intéresser une seule seconde.
et les exemples sont nombreux, la techno à été accusé de pousser les jeunes vers la drogue, la mode gothique mènerait au satanisme et donc logiquement aux sectes, les jeux de rôles nous ferait perdre tout repère de la réalité, nous transformant en schizophrènes, les mangas nous feraient subir la perversité japonaise, et tant qu'aux jeux vidéos, après avoir fais de nous tous des épileptiques, et avoir poussé à la violence, ce fléau ferait également de nous des no life, véritables ermites moderne perdu dans un monde virtuel, et drogués aux polygones. si encore ceux qui en parlaient connaissaient leur sujet, ça pourrais être intéressant, mais au contraire faire étalage de son ignorance pour paraitre le moins crédible possible semble être devenu une compétition au sein des médias grands public dit "généralistes" français, c'est ainsi qu'un journaliste de france 2 très sur de lui, n'hésite pas à parler de "meuporg" pour définir le fléau de la dépendance virtuel, et poussant le ridicule jusqu'à épeler "MMMPORPG"...he oui, ce "professionnel" de l'information essaye bien de nous parler des MMORPG. plus grave encore, il y a quelques temps, france 2 (encore) s'alarmait d'une vague de suicide touchant 147 japonais décidés à protester de manière extrême au report d'un jeu intitulé mort ou vif. la source du journaliste? un article paru dans libération....la source de libération? une blague parue dans xbox mag dont voici le message incriminé: " Dead Or Alive Ultimate est repoussée au Japon. La nouvelle a provoqué un drame au pays du soleil levant : 147 otakus se sont suicidés en gobant des poches de silicone pour protester contre ce report de la part de Tecmo et on me signale à l'instant que les fanas d'import qui avaient précommandé la bête viennent d'être retrouvés pendus avec un soutif géant...". malheureusement, malgré un manque de crédibilité flagrant, les préjugés se mettent vite en place et poussent à des extrémités auxquels nous ne sommes pas à l'abri. mais soyons réaliste à causes de nombreux écrivaillons en quêtes de gloire ou d'opportunistes bien décidé à profiter de la mauvaise presse du loisir incriminé, nous en arriveront fatalement à des abérations tel l'interdiction d'exposition du manga angel en magasin quand la bd manara est en libre service. la preuve: plusieurs pays commencent déjà à s'en prendre aux jeux violents sans un seul instant remettre en question les films pour adultes ou les images choquantes diffusées au 20H00, bref le pouvoir appartient aux menteurs et aux malhonnêtes bien décidé de profiter de la crédulité du grand public en leur balançant un bouc émissaire tout trouvé. |
D'après moi, L'image du jeu vidéo donnée par les acteurs extérieurs au marché est souvent négative, car ils véhiculent principalement les clichés du jeu vidéo.
En effet, l'on peut trouver dans les informations un grand nombre d'histoire de fusillade ou de violence mettant en scène des jeunes où l'on pointe d'un doit accusateur les jeux vidéos et leur violence banalisées à travers les "simulateurs de meurtres". Le fait est que la plupart des journalistes jugent sans connaitre (on peut ainsi parler de récent meuporg collector de télématin) et comme dans tout comportement humain, l'on a peur de ce que l'on connait pas et au lieu de chercher à mieux comprendre, on se murent dans des préjugés et des présupposés. Les journalistes relies toujours comportement violent à un jeu video trouvé chez l'adolescent. Mais c'est tout à fait normal, existe il aujourd'hui un ado ne possédant pas de jeux chez lui ? Le jeux étant avant un loisir localisé qui ne concerné que quelques personnes, mais aujourd'hui avec son dévellopement est l'amélioration des technologies, les deviennent photo-réalistes. Certes, on ne peut cacher le fait que certains sont plutôt violents comme récement god of war. mais jeux vidéos sont encore aujourd'hui trop associé à jeux d'enfants, et ce n'est pas la démocratisation de la wii qui va changer cette vision. Nous sommes aujourd'hui dans une société ou la violence est relativement banalisées; mais bien que certain films soient beaucoup plus violents que les jeux videos, les gens ne s'inquiète pas car dans les jeux vidéo nous somme non plus spectateur, mais acteur. Nous arrivons donc à la norme PEGI qui est une réponse tout à fait logique des états qui cherche alors à signaler, prévenir et avertir les utilisateur sur les degrés de violence et l'âge conseillé. Mais le principal problème est que c'est norme est peu voir pas du tout respecter à la fois par les magasins et par les acheteurs. Comme il a été dit précédement, cette norme doit être renforcé. En effet, la France par rapport à d'autres pays voisin et relativement laxiste et il est particulierement aisé d'acheter un jeux +18 alors que l'on est même pas majeur tandis que dans d'autres pays comme l'allemagne, on demande obligatoirement une carte d'identité. Le problème viens aussi des parents, qui faute de connaissance, achète le dernier jeu à la mode pour leur petite tête blondes, sans vérifier les pictogrammes. Je me souviens d'un gosse de même pas une dizaine d'année qui demandait le dernier call of à ses parents qui l'on pris sans broncher. Comme l'a signalé antopine, beaucoup de joueurs se servent des jeux vidéos pour déstresser, là ou certain utilisent les sport, que l'on a jamais pointé des doigts malgré toutes les dérives et violences dans les stades. Tuer des pixels ne me feras jamais passer à l'acte, c'est totalement ridicule et je sais faire la distinction entre vie réelle et virtuelle. Au passage, on peut aussi se demander pourquoi l'on pointe toujours les jeux vidéos comme causes de violence mais l'on ne se demande jamais comment les jeunes se sont fournis une arme, arme qui appartenait généralement au père de famille. On voit donc d'après moi apparaitre un critère déterminant dans le passage à l'acte: le contexte familiale. En effet, on a souvent à faire à des ados déboussolés en pleine crise d'adolescence, qui se réfugies dans les jeux vidéos, mais la causes principale et le manque de communication avec les parents et le rapports que ceux ci possèdent avec les armes, lorsque que l'on voit le culte qu'exerce les armes sur les familles américaine, il ne faut pas s'étonner du résultat. D'après moi, il ne faut pourtant pas se voiler la face, et je pense que les jeux vidéos peuvent provoquer des comportements violents sur des personnes à la psychologie fragile. Le jeu video ne fait alors qu'exacerber des problèmes déjà existant qui auraient finis par se déclarer un jour ou l'autre. Je conclurais sur une phrase de je sais plus qui (si quelqu'un s'en souvient, je veux bien le nom de l'auteur qui disait à peur près) :"Si les jeux videos possédaient une quelconque, nous serions tous en train de courir pour chopper des pièces, poursuivis par des fantômes" |
Partager : |
![]() ![]() |