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Test - Like a Dragon : Ishin

- Publiée le 08.03.2023, à 12:09
- Par Damien B.
Test - Like a Dragon : Ishin

La licence Yakuza, ou Ryu Ga Gotoku au Japon, a littéralement traversé les époques. Que ce soit réellement, avec la quantité de jeux sortis sur divers supports, ou dans son histoire, depuis les années 80 de Yakuza Zero à nos jours avec Yakuza : Like a Dragon. En attendant la suite des aventures d’Ichiban Kasuga, Kazuma Kiryu et toute la bande dans le huitième épisode du canon de la saga, Like a Dragon : Ishin !, prend le parti de vous plonger dans le Japon du 19ème siècle. Retour en arrière temporel, dans ce remaster du jeu sorti en 2014, attention, ça va trancher (version reçue de l’éditeur) !

Mais avant tout ça…

Passons par une présentation de la saga, nécessaire pour bien saisir l’essence de ce qu’elle représente. Si le premier épisode de Ryu ga Gotoku/Yakuza en 2006 et ses suites ont su conquérir un certain public au fil du temps, ce n’est que récemment que la franchise a réellement décollé dans nos contrées. Cela notamment grâce à la traduction française des sous-titres avec le spin-off Judgment, et l’excellent Yakuza : Like a Dragon, épisode qui a fait découvrir la saga à bien des joueurs et surpris les vétérans avec son côté RPG, en lieu et place du côté beat’em up habituel.

Des jeux orientés action, certes, mais qui mettent l’accent sur l’histoire avant tout. Si certains reprochent un côté verbeux à la saga, c’est pourtant ce qui la différencie des autres titres du genre, et rendent les Yakuza/Like a Dragon si savoureux. Avec des textes travaillés, un sens de la narration, de la construction des personnages et de l’intrigue qui font plaisir à suivre, pour peu que l’on aime les scénarios qui vont plus loin qu’un simple conflit pour justifier la bagarre. Sans compter les nombreuses activités qui gravitent autour de l’histoire principale : des missions secondaires parfois rigolotes ou chargées d’émotions, des mini-jeux variés, des activités parfois étonnantes (gérer un bar à hôtesses, un chantier de construction ou un business immobilier) et surtout, de voir évoluer le Japon au travers différentes époques, des années 80 pour Yakuza Zero, à 2016 pour Yakuza 6 par exemple.

L’évolution n’est pas que visuelle : on suit également les mœurs, les relations de travail, de couple ou de hérarchie, ou encore les diverses évolutions sociales et technologiques qui ont marqué les époques. Tenez par exemple, dans les premiers Yakuza, vous pouviez sauvegarder uniquement à des points fixes : les cabines téléphoniques. Dans les épisodes plus récents, le téléphone mobile permet de sauvegarder n’importe où, n’importe quand. Un détail dans un océan d’autres choses qui font de ces jeux non seulement des marqueurs temporels, mais aussi des histoires qu’on prend plaisir à suivre grâce notamment au charisme incroyable de Kiryu Kazuma, le personnage principal de la saga. D’autres personnages récurrents, qui sont tout aussi classes, ont marqué les époques, évoluant aussi au fil des épisodes.

Tout ça pour en venir à ce qui nous intéresse aujourd’hui : Like a Dragon : Ishin ! Cette-fois ci, direction le Japon de 1868, transition entre l’ère Edo et l’ère Meiji, pendant la période du Bakumatsu. Pan historique incontournable du Japon, qui vous est ici conté au travers des yeux de Ryoma Sakamoto, entre loyauté, honneur et vengeance.

Le Dragon de Tosa

La transition entre l’ère Edo et l’ère Meiji au Japon (qui nous ramène en 1868) a été marquante à bien des niveaux. Si par chez nous ce pan d’histoire est pratiquement inconnu (sauf toi, là-bas le fan de Kenshin le Vagabond !) on l’a pourtant vu dans bon nombre d’adaptations vidéoludiques, ne serait-ce qu’au travers de quelques noms ou termes qui peuvent parler. Le Bakufu, le Shinsen-Gumi, Hajime Saito… Cela ne vous dit rien ? Ce n’est pas grave, on est aussi là pour découvrir ! Nous suivons Ryoma, qui revient dans le village de Tosa, après avoir passé quelque temps à Edo (ancien nom de Tokyo). Mais à peine arrivé, tout va très vite : il apprend que son frère (adoptif) Hanpeita est à la tête d’un mouvement qui tend à renverser le shogunat, le Kinno-To, fondé par leur père (adoptif aussi) alors que Ryoma était absent. S’en suit un meeting familial pour expliquer les tenants et aboutissants du Kinno-To, c’est alors que le père se fait assassiner et les deux frères sont impuissants face à l’assaillant, qui utilise une technique au sabre particulière… Ryoma est alors suspecté du meurtre et quitte Tosa en laissant les rênes du Kinno-To à Hanpeita, jurant de retrouver qui a assassiné leur père.

On retrouve ainsi Ryoma un an plus tard, dans la ville de Kyo (Kyoto aujourd’hui). Il a changé de nom et se fait appeler Saito Hajime. Il feint d’être un poivrot incapable et fainéant pour ne pas éveiller de soupçons. Depuis, il a continué ses recherches et a découvert que le style utilisé par l’assaillant à Tosa se nomme le Tennen Rishin et que le dojo qui l’enseignait se trouvait à Edo, mais a fermé… Depuis, il se dit que des pratiquants du Tennen Rishin se trouvent à Tokyo, au sein même de la célèbre milice du Shinsen-Gumi qui officie à Kyo. Ryoma/Saito décide alors de rejoindre le Shinsen-Gumi pour découvrir la vérité, au moment même où des événements historiques vont prendre place…

Vous contrôlez Ryoma et vous déplacez dans les villes et quartiers, pour mener à bien vos quêtes, combattre, manger, faire des emplettes, de l’artisanat, des mini-jeux et avoir un aperçu de ce que pouvait être la vie de cette période au Japon. L’histoire ne perd pas de temps à se mettre en place et vous colle directement dans l’ambiance, les liens, les enjeux et intérêts de chacun étant clairs. Pour vous accompagner et mieux vous faire comprendre les termes et l’histoire, un glossaire est disponible lors des dialogues : avec la touche Start, vous pourrez obtenir une définition d’un terme, qui est fort pratique pour ne pas être perdu dans le lexique parfois complexe pour quiconque ne connaît pas l’histoire du Japon. Car Like a Dragon : Ishin se base sur des faits réels et des lieux et personnes ayant existé à cette époque, si tout le jeu est traduit en français, le fait de pouvoir accéder aux détails de chaque terme est bienvenu.

Cette volonté d’immersion se retrouve également dans les menus, qui comportent les profils des personnages et les liens existants entre chacun. Car ils seront nombreux et ce n’est pas toujours simple de s’y retrouver. La tâche est encore moins évidente pour les fans de la saga qui retrouveront les traits des personnages dont ils ont l’habitude, mais avec un nom différent. Rien de compliqué cependant, car le jeu a l’intelligence de vous présenter chaque personnage de façon compartimentée, et l’écriture est bien pensée pour que tout le monde repère qui est qui. Au fil de l’aventure, vous arpenterez de nouveaux quartiers et, à cette occasion, vous découvrirez de nouvelles opportunités de quêtes et aussi de dialogues. Le fait d’accomplir des tâches ou missions augmentera votre popularité, cela servira notamment à obtenir de nouvelles quêtes mais aussi un succès lorsque vous aurez monté votre réputation au maximum ! Un objectif certes secondaire, mais qui permet de donner de l’intérêt à vos promenades.

La Voie du Samouraï

L’aspect progression des Yakuza d’origine est présent : vous combattez, vous gagnez des points de compétence, vous augmentez vos capacités et caractéristiques. Vous avez accès à quatre styles de combat, à savoir bagarreur, bretteur, tireur et danseur endiablé. Comprenez combats à mains nues, au sabre, au pistolet et un mélange sabre et flingue. Quand vous utilisez un style de combat, vous gagnez des sphères qui vous permettront de débloquer les compétences de chacun des styles. Outres de nouveaux coups et combos, vous pourrez également augmenter votre vie, votre ferveur (qui se charge pour utiliser des coups spéciaux) entre autres choses que nous vous laisserons bien entendu découvrir. Pour les furieux en quête de challenge, vous pouvez aussi ne pas utiliser les orbes, ce qui pimentera méchamment la difficulté !

Au niveau des touches : X porte un coup faible, Y un coup fort, ensuite chaque style fait varier l’utilité des touches : le style bagarreur permet de parer un coup avec LT, le style danseur endiablé permet des esquives avec A et plein d’autres petites astuces qui font le sel du système de combat, qui est simple à appréhender, mais demande de la maîtrise pour être efficace selon les adversaires que vous aurez en face. A vous de vous adapter selon les situations, la quantité d’ennemis et leurs styles de combat ! Il vous est également possible de vous équiper de nouveaux sabres, pistolets, munitions spéciales et équipements de défense. Vous pourrez créer et améliorer des lames à la forge, pêcher du poisson, faire des petites emplettes pour diverses missions ou restaurer de la vie en cas de besoin… Et il est parfois sympa de varier les plaisirs entre deux quêtes, certaines demandant des allers-retours entre les quartiers pas forcément fun. Des palanquins vous permettent de faire le taxi entre les zones, mais ils restent peu nombreux et parfois il faut cavaler entre plusieurs endroits pour papoter ou taper du mécréant. Une tare classique de la saga, encore présente ici.

Au gré de vos aventures, vous allez débloquer un ajout assez important pour le système de combat : les escouades. Vous pourrez recruter et assigner des soldats à chaque style de combat. Vous pourrez assigner un caporal et deux soldats à chacun de vos styles de combat. Chacune des unités dispose de traits et d’aptitudes diverses, comme des attaques, des soins ou des améliorations défensives par exemple. Les Traits de caporal et les aptitudes des soldats de votre escouade peuvent améliorer les compétences de Ryoma et même lui permettre d’utiliser de nouveaux coups puissants. Pendant le combat, les escouades sont affichées en bas à gauche de l’écran et liées à vos styles de combat. Lorsque vous changez de style, l’escouade changera automatiquement. Vous pourrez voir chaque barre d’aptitude à charger et, une fois prête, vous pourrez l’activer en maintenant LT et en appuyant sur une des flèches de la croix directionnelle. Une fois activée, l’aptitude dure jusqu’à ce que la jauge soit vide.

Chacun de vos soldats peut gagner des niveaux, pour être ainsi plus efficace, mais il est également possible de les fusionner pour monter leur niveau, les promouvoir pour augmenter leur rang ou améliorer leurs traits, qui sont des aptitudes passives parfois très pratiques. A ce rajout de gameplay se greffe également tout un système de missions secondaires dans lesquelles il faut nettoyer des zones entières d’ennemis, avec à la clé des trésors très intéressants ! Mais ce système de combat s’intègre au jeu dès lors que vous le débloquez à partir d’un certain chapitre. Si cela permet d’ajouter une dimension tactique supplémentaire, dans le mode facile ou normal, cela contribue à diminuer encore la difficulté des combats avec une tonne de bonus passifs, de soins ou de super attaques qui défoncent les adversaires. D’autant plus que des cartes légendaires sont disponibles assez facilement, nous vous conseillons au départ de ne pas les utiliser si vous voulez garder un semblant de challenge.

Vis ma vie de samouraï

Outre la quête principale, vous aurez aussi accès à une énorme liste de missions secondaires, au ton plus léger bien souvent, mais agréables à suivre. Certaines sont juste du FedEx, mais parfois la fin peut être surprenante… Certaines missions vous feront découvrir plus en profondeur le Japon d’antan, avec les mouvements sociaux de l’époque (avec la musique du Ee Ja Nai Ka qui vous restera en tête, oh que oui !) ou les relations économiques, politiques et sociales au travers de courtes missions. C’est aussi lors de ces petites histoires que vous aurez droit à des craquages des traducteurs, qui citent parfois les Inconnus ou la Cité de la Peur, gage d’une qualité et d’une certaine dérision qui est assez sympa quand on a la référence. Chaque personnage que vous croiserez peut potentiellement avoir une bonne surprise du genre, et il est bon de discuter avec autant de PNJ que possible !

Notez que les rencontres que vous ferez vous permettront parfois de vous lier d’amitié avec certains PNJ. Cela aura divers intérêts : obtenir de nouveaux produits auprès des marchands, valider des quêtes particulières ou carrément adopter un chat ou un chien après l’avoir aidé plusieurs fois. Evidemment c’est un processus assez redondant et il faut retourner plusieurs fois auprès du PNJ pour faire grimper la barre d’amitié, jusqu’à la remplir. Dans tous les cas, aider vos semblables vous permettra d’augmenter votre vertu, ce qui s’avère crucial si vous souhaitez compléter le jeu !

Certains PNJ auront la capacité de vous apprendre de nouveaux coups : quatre maîtres pour chacun des styles de combat, repérables sur la carte avec les bâtiments verts. Grâce à eux, vous pourrez débloquer des techniques spéciales uniques, qui sont parfois carrément dingues, comme par exemple la visée rapide avec le pistolet, ou le coup de sabre Iaï qui est juste hyper classe quand vous pouvez le placer ! Evidemment, cela nécessitera de les apprendre d’abord en réussissant un test, et il sera ensuite possible de débloquer et utiliser ces coups avec les orbes d’apprentissage. Un passage obligé pour les complétionnistes !

A côté des missions, vous pourrez aussi varier les plaisirs avec les nombreuses activités : la course de poulets, de la danse, du chant, du Poker, la pêche en mer et en rivière, le Hanafuda ou même couper des boulets de canon qu’on vous tire sur la tronche… La variété est de mise ! Ou même jouer au Shogi, cuisiner ou encore faire des concours de boissons avec une geisha, qui peut finir d’ailleurs assez mal… Un moment à la fois de fun mais de frustration : si vous réussissez le mini-jeu de boisson, vous devrez gagner 5 manches de Jan Ken Pon (Pierre-ciseaux-feuille) et si par chance vous gagnez, vous aurez un dernier mini-jeu dont nous gardons la nature secrète, mais qui est un… shmup ?! Carrément étonnant, décalé et fun, mais aussi hyper difficile. Certainement le mini-jeu le plus compliqué de tout Like a Dragon : Ishin !

A partir d’un certain moment du jeu, vous aurez accès à votre maison, qui se révèle être un gros morceau en termes d’intérêt ! Vous pourrez vous y occuper de faire pousser des légumes et organiser votre potager ou encore vous occuper des animaux que vous aurez recueillis. Grâce aux points de vertu accumulés, vous pourrez enjoliver votre maison ou carrément lui ajouter des objets : une niche pour le chien, un potager plus grand, un épouvantail ou refaire la déco de la maison ou de la cuisine. Tout cela n’est pas que cosmétique, les ajouts faits à votre demeure permettent de booster la qualité de votre cuisine et améliorer ses effets, de rendre les animaux plus heureux et ainsi récupérer des objets qu’ils vous ramèneront, ou encore optimiser vos récoltes pour ensuite les revendre ou les cuisiner. Toute une micro-gestion qui rajoute encore de la matière au jeu, et lui donne une dimension plus personnelle et agréable.

L’acier et le sang

En termes de maniabilité, tout est clair et bien expliqué, Ryoma répond au doigt et à l’œil, ce qui est crucial notamment pour les combats, qui demandent parfois une précision millimétrée, surtout dans les modes de difficulté supérieurs. En mode débutant ou normal, les combats restent assez simples, mais le moindre faux pas au-delà peut vous coûter cher… Sur Series S comme sur Series X, le framerate est impeccable. Vous apprécierez d’autant plus l’absence de ralentissements contre les boss, qui seront parfois extrêmement vifs, et contre lesquels la moindre erreur peut vous coûter très cher si vous ne réagissez pas au bon moment… du moins, dans les niveaux de difficulté les plus élevés. A ce sujet, un écueil parfois gênant vient des combats de boss dans de petites pièces, dans lesquelles la caméra se heurte aux murs, et cela rend la visibilité assez difficile. Il faut rester en mouvement pour toujours avoir l’ennemi en vue, sous peine de se prendre un coup tranchant qui pourrait faire bien du mal…

Les ennemis pourront, au fil du jeu, utiliser également des attaques assez spectaculaires ; ça fait bizarre la première fois et ça fait aussi très mal, il est donc important de ne jamais sous-estimer un adversaire. Il faudra utiliser vos techniques à bon escient et garder vos soldats pour les moments difficiles. Pour aborder l’aspect technique du jeu, le rendu visuel est tout à fait agréable. Les tissus, la texture de la peau, les éléments de décor, l’architecture… On sent le gros boulot qui a été fait derrière, et qui au final contribue à rendre le jeu authentique et généreux, sans compter les reflets et effets de lumière qui font également plaisir ! On notera cependant que la population est très localisée dans les grands axes piétons, et souvent les petites rues manquent de vie. Mais bon, y a un chat parfois qui traîne pour mettre l’ambiance, c’est déjà ça.

On apprécie également les passages cinématiques importants qui sont superbes en termes de modélisation et la transition avec les passages de jeu purs ne sont pas choquants du tout, notamment sur Series X. Cependant, la synchronisation labiale est mieux terminée sur certains personnages que sur d’autres, c’est assez aléatoire… Pour les personnages importants c’est souvent très propre, mais pour ceux qui sont moins présents ou secondaires, ça manque de finition, et c’est encore plus flagrant quand on a ces deux personnages face à face… Après, si on veut chercher la petite bête et regarder toutes les textures et détails sous tous les angles, il est évident qu’on en trouvera certaines moins bien finies que d’autres, mais c’est l’apanage de ce genre de jeux qui propose une richesse visuelle certaine, et surtout qui a la volonté de restituer une époque qui a existé et qui mise sur le réalisme. Un écueil moins pardonnable pour des univers fantaisistes.



Point complet
Que vous connaissiez la saga Yakuza/Like a Dragon ou non, on ne peut que recommander Like a Dragon: Ishin ! Si vous aimez les jeux avec une histoire riche, une tonne de contenu et de l’action adaptée à tous les niveaux, Like a Dragon : Ishin ! est un titre incontournable, qui vous scotchera au moins une quarantaine d’heures, et facilement le double si vous souhaitez vous amuser à tout voir, tout récupérer, et glaner tous les succès !

On a adoré :
Une histoire intéressante à suivre
La tonne de contenu
Un gameplay efficace
Techniquement agréable
Adapté aux nouveaux comme aux vétérans
Une durée de vie énorme
Le doublage encore une fois excellent
Une belle restitution de l’époque
La possibilité de pimenter le challenge en ne posant pas d’orbes de compétences
On n'a pas aimé :
Certains coins carrément déserts
La difficulté en facile/normal dérisoire…
Encore plus simple avec le système d’escouade
Certaines missions secondaires FedEx lourdingues
La caméra qui galère en combat dans les espaces fermés
Les allers-retours redondants dans certains chapitres



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