Irock
Publié le 30/09/2010 à 08:52
Fort du dernier opus (Fight for New York, FFNY) EA récidive sur next-gen avec cet Icon.
Revirement total des la série dû au changement de développeurs qui du coup perd ce qui faisait la marque de fabrique et le succès de cette licence.
Si vous pensiez retrouvez un digne successeur des anciens Def Jam passer votre chemin, tout ce qu'il en reste ce sont les rappeurs maison et leur bon son.
Déclenchant malgré vous une bagarre, vous laverez l'honneur du bras droit d'un producteur, celui-ci appréciant votre geste vous offre de travailler pour lui. Votre but sera alors de gravir les échelons jusqu'à devenir à votre tour producteur. Le scénario n'étant clairement pas le point fort du jeu, comme d'habitude, passont donc au reste.
La grande nouveauté (et l'unique d'ailleurs) est qu'ils sont abandonné le mode RAGE au profit d'une possibilité de scratcher (comme sur une platine) dans le vide pour changer la musique et/ou faire exploser certaines partie du décor pour infliger des dégâts. Ce système ce révélant en fait dispensable on se demande pourquoi ils l'ont choisi.
En parlant des décors oublier l'interaction avec le public, il y en a plus!
Certaines parties de décors, voitures, mur d'enceintes, station service, panneau électrique, bras de caméra TV ou encore hélicoptère sont mobiles et bougent aux rythmes de la musique. Vous infligerez d'ailleurs beaucoup plus de dégâts en y envoyant l'adversaire qu'en l'enchainant.
Pour ce qui est des combats six styles sont disponible. En plus de ne plus pouvoir les combiner entre eux les combats se révèlent lents et mous. Il y a toujours les coups basiques hauts, bas, les diverses prises suivants le style choisi et des coups plus puissant donné avec le joystick droite. La jouabilité d'ailleurs est plus que discutable puisque contrairement à un Fight Night 4 donner des coups avec le joystick ici ce n'est pas précis et manque sérieusement de punch.
Les graphismes et la modélisation des personnages sont bien fais, avec les dégâts dû aux décors les vêtements s'abiment de façon à peu près réel de par et d'autres, bleus et hématomes sur le visages s'affichent également.
Côté musique c'est toujours un plaisir! C'est le vrais point fort du jeu avec 26 pistes non-censurées, TI, Lil John, Redman, Ludacris etc.. et si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi l'une d'elles il est possible de mettre vos propres musiques depuis le disque dur de la console créant ainsi votre propre mix-tape.
Malgré cinq modes de jeu, Monter son label, Combattre, Mix-Tape, F.A.C.E et le Live.. on tourne vite en rond, ces différents modes étant sans réel différence. La campagne est d'une durée juste correct avec une moyenne de 7-8h, même au niveau difficile rien de bien compliqué pour le terminé.. et en y repensant vu la maniabilité, heureusement.
En résumé: une grosse déception pour ce titre qui en cherchant encore plus d'originalités enterre une licence qui avait tout pour plaire. Un opus réservé au vrais fans.
Irock
Publié le 24/05/2010 à 21:59
Fort du dernier opus (Fight for New York, FFNY) EA récidive sur next-gen avec cet Icon.
Revirement total des la série dû au changement de développeurs qui du coup perd ce qui faisait la marque de fabrique et le succès de cette licence.
Si vous pensiez retrouvez un digne successeur des anciens Def Jam passer votre chemin, tout ce qu'il en reste ce sont les rappeurs de la maison et leur bon son.
Déclenchant malgré vous une bagarre, vous laverez l'honneur du bras droit d'un producteur, celui-ci appréciant votre geste vous offre de travailler pour lui. Votre but sera alors de gravir les échelons jusqu'à devenir à votre tour producteur. Le scénario n'étant clairement pas le point fort du jeu (comme d'hab) on passe on reste.
Pour progresser il faudra combattre certes mais aussi gérer l'argent que l'on gagne. La gestion n'est en fait pas vraiment poussée, il suffit d'investir assez d'argent pour faire la promo des titres d'artistes acquis pour en retirer le plus de cash. Pas la peine de s'emballer y'a rien de sorcier et c'est bien dommage.
La grande nouveauté est qu'ils sont abandonné le mode RAGE au profit d'une possibilité de scratcher (comme sur une platine) dans le vide pour changer la musique et/ou faire exploser certaines partie du décor pour infliger des dégâts. Ce système ce révélant en fait dispensable on se demande pourquoi ils l'ont choisi.
En parlant des décors oublier l'interaction avec le public, il y en à plus!
Certaines parties de décors, voitures, mur d'enceintes, station service, panneau électrique, bras de caméra TV ou encore hélicoptère sont mobiles et bougent aux rythmes de la musique. Vous infligerez d'ailleurs beaucoup plus de dégâts en y envoyant l'adversaire qu'en l'enchainant.
Pour ce qui est des combats six styles sont disponible. En plus de ne plus pouvoir les combiner entre eux les combats se révèlent lents et mous. Il y a toujours les coups basiques hauts, bas, les diverses prises suivants le style choisi et des coups plus puissant donné avec le joystick droite. La jouabilité d'ailleurs est plus que discutable puisque donner des coups avec un joystick ce n'est pas précis et cela manque sérieusement de punch.
Les graphismes et la modélisation des personnages sont bien fais, avec les dégâts dû aux décors les vêtements s'abiment de façon à peu près réel de par et d'autres, bleus et hématomes sur le visages s'affichent également.
Côté musique c'est toujours un plaisir! C'est le vrais point fort du jeu avec 26 pistes non-censurées, TI, Lil John, Redman, Ludacris etc.. et si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi l'une d'elles il est possible de mettre vos propres musiques depuis le disque dur de la console créant ainsi votre propre mix-tape.
Malgré cinq modes de jeu, Monter son label, Combattre, Mix-Tape, F.A.C.E et le Live.. on tourne vite en rond, ces différents modes étant sans réel différence. La campagne est d'une durée juste correct avec une moyenne de 7-8h, même au niveau difficile rien de bien compliqué pour le terminé.. et vu la maniabilité en fait heureusement.
En résumé: une grosse déception pour ce titre qui en cherchant encore plus d'originalités enterre une série qui avait tout pour plaire.
De beaux graphismes et une bonne BO ne font pas un bon jeu ce n'est pas une nouveauté. Le titre plaira aux vrais fans pour les autres passer votre chemin.
Points positifs:
La personnalisation du perso, l'animation des persos, les graphismes en général, les dégâts infligés, les décors en mouvements (c'est sympa) interactifs et destructibles, le petit plus de la gestion, 26 morceaux non censurés.
Points négatifs:
C'est pas un FFNY, maniabilité mal pensée, les combats sont lents et mous, que six style de combat dont un seul jouable à la fois et les serveurs fermé depuis Mars 2010.
Def Jam avait fait figure d'ovni lors de sa sortie en 2003, mais le titre, fort de son système de combat riche et de son univers underground fort réussi, avait su se forger une place dorée dans le coeur de nombreux joueurs avides de sensations fortes. Un an plus tard, sa suite, Def Jam Fight For NY enfonçait le clou platiné en affinant un gameplay déjà bien rodé et en donnant un peu plus d'ampleur aux combats des rappeurs. Def Jam : Icon a donc la lourde tâche de succéder à deux très bons jeux et espère faire aussi bien, sinon mieux que ses illustres aînés. Sans plus attendre, je vous propose de plonger avec moi dans cet univers violent, où les coups s'échangent en rythme avec les beats enragés des artistes du label Def Jam.
Dans nos corps-à-corps, on a souvent joué sur les mêmes accords...Dans les lignes qui suivent, je m'attacherai principalement au mode de jeu principal du soft : Monter Un Label. Les autres modes n'offrant simplement que la possibilité d'affronter le rappeur de votre choix dans votre arène favorite, ou encore de vous entraîner contre un adversaire dont vous aurez réglé l'agressivité au préalable, voire même contre un pote consentant. Bref, vous l'aurez remarqué, les bastons de Def Jam : Icon ne s'en tiennent cette fois qu'au face-à-face entre deux combattants relativement célèbres, pas plus. Notons également la présence du mode Mixtape, exclusif à la 360, et dont je parlerai plus tard. Mais revenons à nos moutons. Le mode Monter Un Label fait donc office de campagne et vous propose de créer votre propre avatar à l'aide d'un éditeur assez performant. Suite à une échauffourée dans un bar, le grand manitou d'un label de disques vous remarque et vous offre un job dans son business.
Murder on the dancefloor !Dès cet instant, vous disposerez de votre propre appartement, aussi bien entretenu que de vieilles toilettes publiques d'ailleurs. Cette antre nauséabonde deviendra pourtant bien vite le centre névralgique de toutes vos activités. C'est là que vous pourrez consulter vos emails, changer de fripes, gérer votre compte en banque ainsi que votre politique commerciale en tant que jeune producteur d'albums. Si dans un premier temps votre boss n'hésitera pas à vous offrir gracieusement quelques deniers, afin que vous puissiez refaire votre look et amorcer votre chemin vers la frime et le bling, il faudra bientôt vous rendre utile. Votre job, c'est de veiller à ce que les artistes du label fassent bien leur boulot, ne soient pas dérangés par des détraqués ou des émissaires d'autres sociétés venus pour les intimider, et bien sûr de faire signer d'autres rappeurs. Plus vous vous rendez utile, plus le boss vous permettra de prendre une part active dans les affaires du label, jusqu'à ce que vous puissiez gérer vous-même vos propres artistes. Cela dit, l'aspect gestion de Def Jam : Icon est en fait très limité. On pourra certes choisir d'investir dans quatre domaines spécifiques, à savoir le marketing, la production de disques en elle-même, la diffusion radio et les apparitions TV, mais dans l'absolu, plus vous investissez, plus vous empochez de billets verts. Un peu de bon sens suffit largement et cet aspect du titre n'apparaît finalement que comme une étape nécessaire à la progression, mais franchement anecdotique et même creuse.
Ce décor a déjà pas mal souffert.Non, le véritable intérêt de Def Jam : Icon réside presque exclusivement dans la manière dont vous vous acquitterez de vos tâches sur le terrain. Ah ça y est, réjouissez-vous, je vais enfin vous parler mandales, dents qui volent, sueur et hématomes. Si comme moi, vous aviez toujours rêvé de mettre Sean Paul sur le carreau, c'est l'occasion, car le jeu offre toujours son comptant de véritables rappeurs, modélisés avec classe et immédiatement reconnaissables. Malheureusement, il semblerait bien que Def Jam ait perdu de sa superbe en ce qui concerne les mécanismes de combat.