Bobby Drake, je t’ai toujours détesté et ça ne date pas d’hier. Même du temps de mes premiers Comics lorsque j’avais 9 ans, dans les Spécial Strange Origins, je ne pouvais pas t’encadrer. Alors lorsque j’ai pu découvrir que tu faisais parti du casting des personnages à interpréter dans la version vidéoludique du film X-Men 3, avec ton look de surfeur gominé, j’ai failli gerber. Heureusement, ce jeu ne s’arrête pas à tenter de jouer de ton toboggan glacé pour échapper aux ennemis sinon, je tiens à vous le dire de suite, j’aurais abandonné. Alors qu’est-ce qui pourrait ou pas me faire apprécier ce jeu ? Tout d’abord, exit les critiques à deux balles des soit disant pro du jeu vidéo qui pensent comme d’habitude qu’une adaptation est égale à une bouze mémorable, un coup marketing pour empocher un peu plus d’argent. Certes, X-Men 3 n’est pas du rang des grands titres mais, il a le mérite et oui il en a, de m’avoir filé une heure de crampes aux mains tellement que j’ai du m’acharner à m’en tirer en mode super héros. Ce n’était pas avec Bob que je me suis tapé cette crise musculaire mais en interprétant Serval avec son horrible costume mais passons. Se taper une myriade de clones qui ne cesse de revenir sans arrêt sur vos basques, ça a laissé des traces. Le fameux canadien, du moins, son interprète vidéo ludique est tripant à jouer. Et vas-y que je te découpe un morceau par-ci, que je te fais des branchies ventrales par là, que je t’enfonce mes ongles et tout le tralala, en clair le pied total. Seul bémol, la difficulté de la tâche à résoudre les missions de plus en plus dures et il faut, je le dis et je le répète, s’acharner si l’on veut survivre. Autre surprise qui m’a totalement séduite est l’interprétation que l’on peut faire de Nightwalker. Kurt Warner est définitivement peu réussi graphiquement mais son talent, la téléportation en veux-tu en voilà est fantastique. Une autre façon d’esquiver et et, au final de cette présentation succincte, achetez-le...