Dans ces opus, les truands Tommy Vercetti et CJ, héros respectifs de Vice City et San Andreas cédent la place à Niko Bellic, immigrant des balkans. Désireux d'oublier les atrocités vécues et commises durant la guerre de Bosnie, ce dernier vient retrouver son cousin Roman afin de goûter au rêve américain. Mais son installation à Liberty city, réplique de New-York, est surtout liée à une histoire de vengeance.
Voilà pour le sypnopsis, sachant que la saga doit son succés autant à son mode de jeu qu'à ses scénarios riches en rebondissements, sans oublier ses personnages qui semblent sortis d'un film de Tarantino. On débute l'aventure avec la companie de taxis dans laquelle Roman est employé, puis très vite, des personnages lui proposent des petits boulots. Il s'agit de surveiller des deals de drogue, de voler des véhicules, d'éliminer des gens et d'en racketter d'autres : ce sont les fameuses missions qui valent au jeu son surnom de simulateur de criminalité et qui ont ravivé la sempiternelle polémique entre jeux vidéo et violence.
Chaque victoire débloque de nouveaux objectifs et des personnages ayant besoin de vos "services". Vous pouvez refuser certains jobs, ce qui conduit plus vite à l'une des deux fins du jeu. De nombreux choix sont présents tout au long de la trame principale. Ainsi, épargner ou exécuter une personne peut faire apparaître une mission. De façon inédite, le jeu offre aussi un côté social servi par de nombreux mini-jeux réussis comme le billard, le bowling et les fléchettes ou les divertissements que sont le cabaret et le club de strip tease. Vous devrez soigner votre relation avec Michelle, qui peut devenir votre petite amie, ainsi que vos rapports avec Roman et divers amis. L'énorme point fort, signature de la saga, est la liberté qui vous est offerte pour mener à bien vos missions, puisqu'il existe au minimun deux façons de remplir vos tâches.
Le réalisme et le souci du détail sont omniprésents. Impossible, par exemple, de voler une voiture sous le nez d'un policier ou de tirer à découvert dans une rue sans qu'un passant appelle les forces de l'ordre. Lorsqu'on s'arrête au péage, Niko sort la main par la portière et jette les pièces dans la corbeille. Il est en plus quasiment impossible de croiser deux habitants identiques, ils ont tous leurs propres dialogues et leurs réactions sont différentes si vous les bousculez. La modélisation de la ville est très soignée, les effets climatiques crédibles et l'humour est là sous forme de clins d'oeil, telle la statue de la liberté, re-baptisée Hapiness Statue (Statue de la joie), qui arbore en guise de flambeau une canette de soda !
Et on apprécie ce travail d'orfèvre quand on se déplace, que ce soit à bord d'un véhicule volé (moto, bateau, voitures ...), en empruntant les quatres lignes de métro ou en prenant le taxi.
De plus, la bande son a été soignée. Les différentes stations de radio diffusent les meilleurs morceaux de musique latino, de rock, funk, jazz ...
Et les fausses pubs qui entrecoupent les chansons à la radio et les programmes télé, sont savoureuses (pour les anglo-phones). On y retrouve une critique acerbe de la société américaine.
GTA IV va plus loin qu'un simple jeu d'action, car cette ambiance magnifie les fusillades intenses, les courses-poursuites à cent à l'heure et les coups tordus qui vous attendent à chaque mission. Elle fait de chaque partie une expérience unique.
Surement le meilleur jeu de la décennie , voila ce qu'on peut dans tous les bon journeaux ! GTA IV est plus qu'un phénomène, il vient d'ailleurs juste de rentrer au Guiness des records pour le jeu ayant généré le plus d'argent en 24h !
Et le jeu vaut bien toutes ces louanges. Malgré une longue attente, les joeurs ne sont pas décus, les graphismes sont presques parfait, ma ville de Liberty City, réplique de NYC est une pure merveille ! La jouabilité est également parfaite et n'a rien à envier à un GoW quant aux scenes de shoot. Quand au sénario, il est digne d'un studio Hollywoodien et les cinématique ne sont à looper sous aucun prétexte !
Avec ce nouvel opus GTA en HD, Rockstar garde l'esprit GTA en y ajoutant un peu de sérieux et de réalisme. Plus question de s'éclater en achevant tous les passant au couteau dans le centre commercial mais une aventure qui vous transportera dans un monde envellopant !
J'étais très tenté pas San Andreas lors de sa sortie sur PS2. Malheureusement, je n'avais pas pu l'acheter, mais cette fois c'est différent. En effet, nous avons droit à un tout nouveau Grand Theft Auto, le quatrième de la série. Inutile de tourner autour du pot, pour les rares personnes qui n'auraient pas entendu parler du jeu que GTA IV est un très bon jeu. Les possibilités qu'offrent la ville de Liberty City sont immenses, le tout sans temps de chargement, si à cela on ajoute la durée de vie du jeu qui est colossale on a affaire, le jeu mérite largement l'investissement. Les fans des épisodes précédents ne seront pas dépaysés car tout ce qui fait la réputation des GTA est présent: bande-son au top, affrontements dans les rues, voitures... Je le conseille vivement.
C’est en ce Mercredi 7 Mai que je reçois enfin mon exemplaire du très attendu GTA IV, le jeu de l’année 2008 parait t-il. Je me précipite à ma XBOX 360 et insère la galette à 70 € dans le lecteur. Apres un cours chargement, une cinématique à ne pas mettre entre les mains des enfants régale mes yeux.
On y apprend que notre personnage, Nikolaï Bellic est un immigrant Serbes et qu’il vient en Amérique, le pays de toutes les opportunités pour vivre avec son cousins. Ce dernier lui a en effet promis les filles, les bagnoles et le manoir. Mais c’est une autre vérité qui attend Niko. Pas de manoir, encore moins de filles et la bagnole promise est un taxi.
Le scénario peine a se lancer mais on s’avouer la richesse de ce dernière âpres les premières heures de jeu.
Grand theft Auto IV est sans aucun doute LE GTA like next gen. Graphisme de toutes beautés , scénario fouillé , ville détaillée , IA dévellopée . On savoure chaque minute de jeu. Le nouveau système de combat est simple a prendre en main et les animations de Niko nous mettent dans l’ambiance du jeu . C’est un jeu magnifique, le jeu de l’année.