Le succès cinématographique James Cameron’s Avatar a fait près de 3 milliards d’entrées dans les cinémas du monde. Quelques semaines auparavant, Ubisoft Montréal sort la version vidéoludique de la licence en reprenant uniquement l’univers du chef d’œuvre.
Pandora, il fait beau là-bas ?
En débarquant sur la lune, on a le droit à une cinématique nous donnant un léger avant-goût des merveilles de la flore. Après une bonne dizaine de minutes, on quitte la base manquant de textures et d’animations auprès des personnages, et on s’attaque à la grande jungle. Éblouit par la magnifique végétation qu’offre cet univers à très vaste étendue, on se met aux commandes de notre personnage pour manier le peu d’armes dont on dispose, à savoir l’arsenal basique que l’on peut améliorer au fil du jeu. Bénéficiant d’un cycle jour/nuit, on observe que la flore prend des couleurs merveilleuses et les jeux de lumières fluorescentes éblouissent comme en vrai durant la nuit.
Na’vi ou Marine ?
Au début du jeu, il nous est proposé de choisir entre quelques personnages. Au bout de quelques temps, voire une petite heure, on est confronté à un choix Na’vi ou Marine ; pour se décider, ouvrir le feu sur un allié ayant en ligne de mire un Na’vi ou exécuter ce-dernier. Commence alors le « vrai » jeu puisque les missions gagnent en durée et en difficulté, et surtout d’intérêt ! Le contraste humain/Na’vi est très voyant, tandis que les marines emploient les armes et équipements lourds, et ont accès à des véhicules bien plus développés et sophistiqués, les Na’vi eux se déplacent plus vite, sont donc plus flexible sur le terrain et utilisent les forces de la nature pour venir à bout de leurs ennemis.
Alors, on embarque pour Pandora ou pas ?
Le jeu vidéo James Cameron’s Avatar profite de graphismes très satisfaisants, une maniabilité correcte et le jeu propose tout de même quelques bonnes heures de jeu garanties par les deux campagnes. Seuls points négatifs, sont le scénario, les missions répétitives et peu amusantes.