Loveless
Publié le 24.03.2012 ŕ 22:35 par V3rgil
Loveless [i][/i] est une piece de theatre apparu dans Final Fantasy VII. Apparu pour la premiere fois dans le jeu sur Playstation sous la forme d'un simple panneau montrant la representation, c'est dans Crisis core , épisode sur psp , que la piece prend vraiment forme. Genesis, grand amateur de littérature, affectionne tout particulièrement la pièce de théâtre dont il cherche perpétuellement à déceler les mystères. Si vous connaissez et aimez FFVII ce n'est que du bonheur.
Voila le texte de base ainsi que sa traduction. Enjoy !
Prologue
When the war of the beasts brings about the world's end
The goddess descends from the sky
Wings of light and dark spread afar
She guides us to bliss, her gift everlasting
Act I
Infinite in mystery is the gift of the Goddess
We seek it thus, and take to the sky
Ripples form on the water's surface
The wandering soul knows no rest.
Act II
There is no hate, only joy
For you are beloved by the goddess
Hero of the dawn, Healer of worlds
Dreams of the morrow hath the shattered soul
Pride is lost
Wings stripped away, the end is nigh
Act III
My friend, do you fly away now?
To a world that abhors you and I?
All that awaits you is a somber morrow
No matter where the winds may blow
My friend, your desire
Is the bringer of life, the gift of the goddess
Even if the morrow is barren of promises
Nothing shall forestall my return
Act IV
My friend, the fates are cruel
There are no dreams, no honor remains
The arrow has left the bow of the goddess
My soul, corrupted by vengeance
Hath endured torment, to find the end of the journey
In my own salvation
And your eternal slumber
Legend shall speak
Of sacrifice at world's end
The wind sails over the water's surface
Quietly, but surely
Act V
Even if the morrow is barren of promises
Nothing shall forestall my return
To become the dew that quenches the land
To spare the sands, the seas, the skies
I offer thee this silent sacrifice
Et voici la traduction =)
PROLOGUE
Lorsque la guerre des bêtes mènera le monde à sa perte, le déesse descendra des cieux.
Les ailes de lumière et d’ombre se déploieront au loin et
Elle nous guidera vers la félicité de son don éternel.
ACTE 1
Le mystère infini …
Trois hommes partirent en quête du don de la déesse
Mais la guerre les sépara.
L’un devint un héros, le deuxième parcourut le monde
Et le troisième fut fait prisonnier.
Mais tous trois étaient liés par une promesse.
Celle de chercher la réponse ensemble, à nouveau.
ACTE 2
Le prisonnier réussit à s’échapper, mais gravement blessé,
Il n’eut la vie sauve que grâce à une femme appartenant
Au camp adverse.
Il vécut retiré du monde, avec l’être aimé,
Promesse de félicité éternelle.
Mais plus son bonheur grandissait, plus sa culpabilité
De ne pas tenir sa promesse envers ses amis croissait.
ACTE 3
Tandis que la guerre s’apprêtait à dévaster le monde,
Le prisonnier se sépara de son jeune amour
Et partit pour un nouveau périple.
L’espoir que le don mènerait vers la félicité le guida,
Tout comme la promesse qu’il avait faite à ses amis
Et bien qu’aucun engagement n’eût été pris entre
Les amants, ils surent qu’ils se reverraient un jour.
Mon ami prends-tu ton envol à présent?
Vers un monde qui nous rejette toi et moi?
Tout ce qui t'attends est un sombre lendemain
Peu importe oĂą les vents souffleronts
Mon ami ton désir
Est ce qui donne la vie le don de la déesse
MĂŞme si les lendemains sont vides de promesses
Rien n'emĂŞchera mon retour
ACTE 4
Mon ami la destinée est cruelle
Il n'existe ni rĂŞve ni honneur
La flèche a quitté l'arc de la déesse
Mon âme rongée par le désir de vengeance
A vécu dans la tourmente mais s'éteindra
Avec mon salut
Et ton sommeil Ă©ternel
La légende parlera de sacrifice
A la fin du monde
Le vent navigue sur la surface de l'eau
Lentement mais sûrement
ACTE 5
MĂŞme si les lendemains sont vides de promesses
Rien ne pourra empĂŞcher mon retour
Afin de devenir la rosée qui baigne ces terres
Et Ă©pargner les sables les mers et les cieux
Je vous offre ce sacrifice silencieux.
Test Saint's Row the Third
Publié le 21.01.2012 ŕ 18:46 par V3rgil
Test Saint’s Row The Third
Présentation :
Saint’s Row the Third est un jeu vidéo développé par Volition et édité par THQ sortit sur Pc, PlayStation 3 et Xbox 360. Suite directe de Saint’s Row 2, ce jeu s’apparente toujours à un GTA-like même si ce titre mériterait d’être classé dans un nouveau style de jeu, le Saint’s Row-like. Car si le jeu ressemble à ses confrères de Rockstar dans son gameplay, c’est dans l’ambiance décalée, humoristique et déjantée qu’il s’en démarque. En bref du grand n’importe quoi !
Se déroulant quelques années après les évènements survenus dans Saint’s Row 2, le scenario de ce troisième épisode nous remet dans la peau du chef des Saint’s. Après s’être débarrassé de la société Utor corporation, les Saint’s sont devenus de véritables célébrités, allant même jusqu’à faire de la pub sous leur patronyme pour différents types de produit tels que pour des boissons énergisantes. Mais ce rêve va vite être mis à termes suite a quelques dérapages lors d’un braquage de banque qui va mal tourner.
Premier pas :
Saint’s Row The Third nous plonge directement dans le feu de l’action. Le joueur est amené à participer à un braquage de banque dès les premières minutes de jeu ou il découvrira de suite que les petits gars de chez Volition ont eu un objectif : nous en mettre plein la vue. Braquer une banque, pour ensuite s’échapper suspendu au coffre-fort de cette dernière, lui-même tiré par un hélicoptère, pour se faire coincer quelques minutes plus tard par une nouvelle menace. Bien sur le calme ne sera pas de longue durée et il faudra de nouveau s’échapper mais cette fois ci en parachute s’il vous plait pour une chute ascensionnelle ou, entre tuer les agents à vos trousses, esquiver les SUV tombant de l’avion et récupérer votre amie dans les airs, vous en viendrez presque à oublier que le sol se rapproche dangereusement. En trois mots : pas de répit.
Scenario : 17/20
Exilés de Stillwater, les Saint’s devront tout reprendre à zéro dans une nouvelle zone de jeu, Stillport. Même si la ville n’est pas forcément plus étendues que celle du précèdent volet cela apportera malgré tout une petite touche de fraicheur au soft. Un travail plus important que sur l’épisode précèdent a été effectué sur les dialogues et la narration qui s’aligne parfaitement sur la dimension humoristique de cet épisode. On retrouvera presque toute la petite bande de Stillwater, et leur histoire sera un peu plus approfondie, ce qui provoquera un certain attachement vis-à -vis des protagonistes. Les personnages secondaires sont tous plus loufoques les uns que les autres, à l’image de Zimos qui ne manquera pas de vous arracher un sourire à chacune de ces frasques. Mais le tout s’incorpore très bien à l’univers de ce troisième volet.
Graphisme : 13/20
Sans vraiment nuire au plaisir de jeu, les nombreux bugs présents dans le jeu peuvent finir par agacer. Les prises de catch pouvant être faite sur les passants mettront en évidence les quelques bug de camera qui a parfois vraiment du mal à suivre les mouvements du protagoniste. L’aliasing est omniprésent. Les effets sont légèrement dépassés, par exemple balancer une demi-douzaine de grenades à la suite vous fera passer une période de lag désagréable. Mais outre ces quelques bugs, l’univers est bien plus coloré que précédemment, les véhicules sont correctement modélisé, les dégâts sur ces derniers sont vraiment sympa également. Les expressions des personnages sont très réalistes et les différents vêtements mis à disposition s’animent avec perfection avec le mouvement. Donc certes cela n’est pas très beau mais ne gâche à aucun moment l’expérience de jeu.
Gameplay : 18/20
La conduite des véhicules a subit un affinage non-négligeable. Elles sont bien plus agréables à conduire, même si on regrettera le coup du passage de vitesse infinie. Les gunfights sont sur vitaminés et « ça pete de partout ». Un des points à souligner également est le fait que chaque partie est différente. En effet tout est personnalisable. Les véhicules possèdent un panel de pare-chocs différents, de multiples peinture peuvent être appliquées, les performances sont évolutives également. Pour ce qui est de notre personnage, il sera possible de rester un temps considérable dans les menus de personnalisation afin d’avoir l’avatar idéal et les choix sont énormes. Par contre les différentes planques ne sont plus aussi modifiable que dans l’épisode précèdent.
Bande son : 15/20
La Play List est diversifiée et pourra donc plaire au plus grand nombre. Les bruitages des véhicules sont corrects (mis à part le bruit du passage de vitesse infini), le son des armes est sympathique et les explosions de grenade sont assez impressionnantes. Mais ça ne sera pas pour ce point-là qu’on se rappellera du soft.
Durée de vie : 18/20
Le point positif de ce jeu. L’histoire, en ligne droite, ne vous prendra pas plus d’une dizaine d’heures de jeu, mais là n’est pas l’intérêt du soft. De nombreuses activités sont parsemées ici et là et sont assez diversifiés pour nous tenir en haleine pendant pas mal d’heure. Que ce soit du Chaos qui se résume en la destruction du plus de choses possibles ou bien du « Mac a dames » qui consiste à aller chercher des prostitués d’un point A pour les emmener a un point B. Le tuning peut vous demander du temps si vous comptez posséder un garage haut en couleur. La tonne de vêtements disponible dans ce jeu prolongera la personnalisation également. Un mode coopération en ligne et un mode horde sont aussi présent. A savoir que si vous visez les 1000G aucune difficultés mais comptez malgré tout une quarantaine d’heures de jeu.
Conclusion : 17/20
Saint’s Row the Third remplit bien son rôle de défouloir personnalisable. Avec ce titre, les développeurs ont bien marqué la frontière avec les GTA-like. L’univers loufoques, les dialogues délirant, la personnalisation poussée, le nombre considérable de clin d’œil et l’univers irrationnel de ce jeu en séduiront plus d’un.
Test Dead Space sur Xbox 360
Publié le 15.01.2012 ŕ 12:56 par V3rgil
Test Dead Space sur Xbox 360
Présentation:
Vous incarnez Isaac, ingénieur spatial, qui accompagné par son équipe part à la recherche d’un vaisseau ne donnant plus aucun signe de vie, l’ISG Ishimura .Venu dans un premier temps effectuer une réparation et retrouver sa petite amie restée sur le vaisseau, il se rendra vite compte de l’enfer présent. Telles sont les bases de ce jeu édité par Electronic Arts.
Premier pas :
Dès les premiers pas à bord de l’ISG Ishimura, une atmosphère étrange nous submerge. Les déplacements du personnage principal peuvent paraitre lents et assez « lourd » aux premiers abords, la camera se situe au-dessus de l’épaule, Isaac ne décoche pas un seul mot tout au long de l’aventure, et tout ceci ne fait que rendre ce jeu plus immersif. Car oui s’il y a bien un point à souligner c’est que Dead space est un jeu qui vous plonge dans une atmosphère ou même derrière son écran on ne se sent jamais à l’abri. Le moindre détour de couloir est source de stress ou l’on prie pour qu’aucune surprise ne nous saute au cou pour nous étriper. Et oui après un atterrissage mouvementé a bord du vaisseau, Isaac et son équipe se rendent vite compte qu’ils ne sont pas seuls. Les quelques centaines de passagers qui étaient présent ont été changé en monstre difformes qui ne manqueront pas de vous faire sursauté dès que l’occasion se présentera, et c’est dans cet enfer que Isaac va tenter de retrouver sa copine et de comprendre et essayer d’endiguer cette invasion de necromorph.
Graphisme : 17/20
Graphiquement ce jeu n’a vraiment pas de quoi rougir. Les effets de lumière nous en mettent plein les mirettes. On signalera d’ailleurs le remarquable travail d’EA sur les éclairages et l’interactivité avec les décors. On bouscule objets et corps sans même s’en rendre compte, créant d’horrifiques cohues sonores du plus bel effet tandis que le travail sur l’obscurité et l’ombre, remarquable, nous immerge un peu plus dans l'horreur. Si on peut tout à fait trouver à redire sur le design assez quelconque des bestioles toutes plus horrifiques les unes que les autres, on ne peut qu’acquiescer sur leur cotés flippant.
Bande Son : 19/20
Le gros point positif de ce jeu. Tout est fait pour que l’on se sente en danger à chaque pas effectué. Un gros travail a été fait sur les nombreux bruitages du jeu. Bousculer accidentellement une caisse peut nous faire sursauter. Les musiques tantôt calme et très fine alterne avec certaines nettement plus bruyante et musclé. Les doublages français sont plus que correct, les souffles du héros après qu’il ait couru, les cris des rares passagers restant ou encore les bruit de démembrement des necromorph s’en donnant à cœur joie rendent cette aventure inoubliable.
Durée de vie : 15/20
Il faudra compter une quinzaine d’heure pour finir l’aventure la première fois en difficulté standard. Aucune énigme ne vous bloquera vraiment au cours du jeu. Ce n’est qu’en visant les 1000G du titre qu’on doublera voire triplera la durée de vie du soft. Et une petite note a ceux voulant le finir en difficulté maximale…accrochez-vous
Scenario : 13/20
Pas très originale, s’inspirant de plusieurs film tels que la série de monstre de Ridley Scott ou encore la série de jeu Doom, mais diablement efficace. En effet la quantité de transmissions ou de message laissés par les anciens passagers apportent une certaine cohérence au scenario. On suit l’histoire volontiers, la n’est pas l’aspect principal du jeu, mais elle ne nous empêchera pas de profiter pleinement de cette expérience de jeu.
Conclusion : 18/20
Fabuleux, atroce, magnifique, affreux, Dead Space est tout cela à la fois. La mise en scène est efficace, le gameplay est parfaitement adapté à l’environnement, flippant toutes les 5 minutes et avec un bestiaire ignoble, Dead Space est un jeu à posséder absolument pour tout amateur du genre, et oui avec une réalisation grandiose Ce jeu est un incontournable…