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My Game of Thrones

Quand HBO s'apprête à diffuser une nouvelle série TV, c'est toujours à surveiller de près, rappelons qu'ils ont produit Band of Brother et sa pseudo suite The Pacific, deux séries de très grande qualité au budget pharaonique (la deuxième étant la série la plus chère de l'histoire), et d'autres séries que je n'ai pas encore regardé comme Boardwalk Empire ou True Blood. Souvent accompagnées de noms connus à la réalisation/production : Hanks, Scorcese ou Spielberg pour ne citer que les moins connus.

Pour 2011, HBO s'est approprié les droits d'adaptation d'un blockbuster de la littérature : Le Trône de Fer (Game of Thrones en Anglais).
Premier roman d'une saga de 7 œuvres littéraires (la saison 1 reflète donc ce premier livre), Game of Thrones prend place dans une époque oubliée, où une force a détruit l'équilibre des saisons. Dans ce pays où l'été peut durer plusieurs années et l'hiver toute une vie, des forces sinistres et surnaturelles se pressent aux portes du Royaume de Winterfell, appartenant aux Stark, une famille controversée, pour obtenir le Trône de Fer, le symbole du pouvoir absolu.





Ce qui frappe rapidement dans Game of Thrones, c'est qu'il n'y a pas vraiment UN personnage principal, un "Élu". Tout le monde a sa place, du Chevalier à la Prostituée. Chaque membre d'une famille a son quart d'heure de gloire : Baratheon, Targaryen, Dothraki, Lannister (Serpentard) et les Stark (Gryffondor). De même face à la mort, tout le monde est au même régime, un personnage récurrent de la série, charismatique, et adoré par les téléspectateurs peut disparaître subitement. Et c'est ça qui plaît, ces retournements de situations peu prévisibles. Alors un personnage se voit prendre la place d'un autre, il doit assumer ses nouvelles responsabilités et faire honneur à sa famille.

Sur les 10 épisodes que compte cette première saison, il ne faut pas s'attendre à voir des batailles style LSDA, c'est avant tout des dialogues sur la politique, des anecdotes, des relations amicales et quelques histoires de coeur. La série reprend quelques éléments qui ont fait le succès de Spartacus – Blood and Sand : Cruauté, Sexe et Têtes coupées.
Les dialogues donnent parfois envie de faire retour arrière, de saisir un stylo + papier pour les noter.

J'ai apprécié les fins d'épisode assez différentes, certaines font monter le suspense quand d'autres finiront calmement. Au début, on s'y perd un peu dans toutes ces familles et royaumes, mais après un deuxième visionnage qui se fait avec grand plaisir, on s'en sort mieux (le « on » c'est pour espérer que je suis pas tout seul à pas avoir tout bien compris dès le début)

Incontestablement ma série TV de l'année, Game of Thrones marque pour moi un tournant dans les séries TV comme avait pu l'être Lost à son époque dans un tout autre style. Crédible, prenante et détaillée, cette série mérite d'avoir ces 7 saisons, d'ici là, le casting risque de pas mal changer, des têtes vont tomber.
Bref, arrêtez de perdre votre temps sur Les Experts ou ce Dr House, sautez sur GoT par Streaming, Téléchargement totalement illégal ou si vous êtes complètement zélés, prenez une Live Box + la chaîne Orange Cinéma Séries. A vous de voir.

La série est également diffusée en France :
GoT est en ce moment même diffusé sur une chaine Orange et en VF. Même si j'aime bien regarder les séries US en VF, j'ai du mal à imaginer Robert Baratheon et son rire de sanglier en version française.





* Game of Thrones a rencontré un véritable succès aux USA avec 2,7 millions de téléspectateurs, sur 300 millions d'habitants, ça fait beaucoup quand même.
* Pour des raisons juridiques, le casting de la série est essentiellement composé d'acteurs membres du syndicat des acteurs britanniques. Si, pour cette raison, les acteurs américains en sont donc exclus (Peter Dinklage mis à part), les conventions européennes permettent cependant à des comédiens ressortissant de l'Union Européenne de participer.
* Le tournage de la première saison, dont le budget est estimé entre 50 et 60 000 000 $, a eu lieu en Irlande du Nord puis à Malte.
* Portée par des critiques élogieuses, Game of Thrones était déjà renouvelée pour une 2ème saison, alors qu’un seul épisode avait été programmé Outre-Atlantique. Pour les plus impatients et avides de spoil, il suffit de lire le synopsis du deuxième roman pour entrevoir la trame de cette suite, le tournage débute cet Été.
* Les 15 premières minutes ont été diffusées avant la première diffusion histoire de faire monter le Buzz. Il s'agit de l'épisode 0.
* Vous pouvez retrouvez 3 extraits qui m'ont marqué et la vidéo ci-dessous dans ma Playlist Youtube.

Source Utilisés : Allociné.fr et Wikipedia





Episode 01 :
Ned : "In the name of Robert of the House Baratheon, the first of his name, King of the Andals and the First Men, Lord of the Seven Kingdoms and protector of the realm, I, Eddard of the House Stark, Lord of Winterfell and warden of the north, sentence you to die."

Episode 02 :
Tyrion : "I just want to stand on top of the wall and piss off the edge of the world."

Episode 06 :
Syrio : "There is only one God and his name is Death. And there is only one thing we say to Death : "Not today."

Episode 07 :
Cersei : "When you play the game of thrones, you win or you die."

Episode 08 :
Shagga : "How would you like to die, Tyrion son of Tywin?"
Tyrion : "In my own bed, at the age of 80 with a belly full of wine and a girl's mouth around my cock."
Source



Pour Conclure cet article, j'ai réalisé un "Trailer", mon premier, principalement consacré à la Famille Stark, il va sans dire que la bande-annonce est bourrée de SPOIL, elle est donc destinée à ceux qui ont suivi la série ou à ceux qui ne seraient toujours pas intéressés par la série après avoir lu mon article (oui mais ils ne seront pas non plus intéressés par la vidéo...), je pense que vous n'aurez pas de mal à reconnaître la musique.

21h de L.A Noire : Verdict !

Annoncé depuis 2006, L.A Noire était développé dans la quasi-confidentialité jusqu'à 2010. Changement radical de communication de la Team Bondi qui envahit alors la toile d'informations, vidéos et images du jeu. Cinq ans de développement, comment ne pas être très enthousiaste à l'idée d'y jouer ? C'est ainsi qu'un certain 21 Mai 2011, j'ai enfin fais mes classes dans la Police de Los Angeles, la L.A.P.D. (risque de petit spoil pour les plus susceptibles)

Vous voici donc dans l'uniforme de Cole Phelps, Policier de la L.A.P.D et accessoirement vétéran de la Seconde GM, médaillé de la Silverstar. Notre héros national débute comme simple patrouilleur mais avec son ambition et ses talents d'enquêteur, il se fera rapidement repéré par ses supérieurs, peut être trop parfois. Une fois que vous quittez votre uniforme, le prologue didacticiel se termine, on vous confie alors des affaires plus intéressantes : circulations, crimes, moeurs et incendies, selon vos promotions/rétrogradation.
Vous y découvrez un Los Angeles post-Guerre Mondiale en pleine ébullition économique mais aussi criminelle, la tache est donc lourde pour notre Héros.

Le jeu est axé autour de 21 enquêtes noté par des étoiles, si vous trouvez tout les indices et les bonnes approches aux questions, pas de dommages collatéraux, vous aurez les fameuses 5 étoiles. De quoi assurer une rejouabilité intéressante, pour faire les succès ou simplement être le meilleur enquêteur de la L.A.P.D. Chaque affaire s'organise de la même façon : enquêtes sur les lieux du crime, interrogation témoin et famille, enfin vous accédez à des suspects qui ne sont pas toujours très coopératif, à vous de les rattraper. Puis une fois que vous avez toutes les preuves en main, inculpation du présumé coupable.
Au fur et à mesure que vous trouvez des journaux placés à certains endroits, vous découvrirez une intrigue parallèle aux enquêtes du moment, au début, on y voit pas trop le rapport, mais tout s'éclairci avec la progression dans l'histoire. C'est plutôt bien vue puisque ça amène le joueur à réfléchir, presque à enquêter de son coté. Les affaires s’enchaînent assez rapidement, certaines ne sont pas toujours bien passionnante et d'autres se ressemblent étrangement. Mais c'est rarement un sentiment de satisfaction que je ressentais en bouclant une affaire, parfois le doute subsiste, ai-je arrêter le vrai coupable ?

Autour de ces quêtes principales, on retrouve les indispensables quêtes secondaires, 40 délits, qui sont en fait le défouloir du jeu puisque ce sont souvent des Gun-Fight, des courses poursuites et bastons. Il est d'ailleurs bien dommage de finir très souvent ces délits par un bain de sang, j'aurais aimé pouvoir arrêter les bandits par un tir incapacitant, par exemple une balle dans le genou. Il y a tout de même quelques passages où on peut arrêter le criminel par un tir de sommation ou un plaquage au sol. Certaines missions secondaires assurent bien leur rôle de défouloir, armez vous d'un fusil à pompe et faites le ménage dans un banque au main des braqueurs !
A cela s'ajoute les voitures secrètes, les bobines et monuments de la ville à trouver, qui vous incitent à la balade dans la cité des anges, cité vraiment immense, je n'ai jamais essayé de la traverser entièrement, mais il me faudrait sans doute 3 fois plus de temps que pour faire un Alderney-Broker (GTA IV).

L.A Noire emprunte énormément d'éléments de GTA IV et de Red Dead Redemption, les graphismes, les gun-fight, le scénario soigné, les personnages charismatiques mais il y a bien une chose qui n'a pas été assez exploité : le coté « Sims Life », on sait finalement très peu de choses sur notre Cole Phelps, on le voit bien au début du jeu sortir de sa maison, on comprend qu'il est marié, mais ça s'arrête là. On ne retourne jamais chez lui pour sauvegarder ou voir sa femme. On découvre quelques bars et restaurants dans le jeu, mais impossible de consommer quoique ce soit, le jeu ne possède pas de système monétaire, il se cantonne à un jeu de flic qui doit arrêter les méchants là où Red Dead Redemption nous montrait un Père, un Mari et un Repenti.
C'est quand même un peu embêtant pour un jeu en monde ouvert, à quoi bon faire une ville si grande si elle ne présente aucune interactivité ? Encore une fois, je suis déçu de voir que certains jeux sont sous-exploités, d'autant que ce n'est pas la chose la plus compliqué à mettre en place.
Je n'y ai pas retrouvé non plus le même suspens, les affaires sont intéressantes, mais les chutes ne sont pas bien bouleversantes, elles savent frustrés le joueur qui s'acharne à faire régner la Justice. Ne parlons même pas de la fin que j'ai trouvé totalement déroutante. C'est surement parce que le jeu se veut très « pied à terre », les développeurs ont voulu montrer aux joueurs que le métier de Policier n'était pas simple et que les affaires ne se finissait jamais en conte de fées.

Les petits détails qui font sourire :
-Les appels au central : la secrétaire disposait déjà de la fibre optique en 1947, elle vous sort une adresse en quelques secondes.
-Les piétons plus durent à attraper que des mouches lorsqu'on essaye de prendre le trottoir comme raccourci.
-Se faire engueuler par le chef de la Police à la fin d'une enquête puis se faire applaudir en début de mission suivante.
-Retrouver une grande partie du casting de Mad Men, manque quand même Don Draper.
-Suivre un interrogatoire tout en suivant la pipelette de votre groupe d'amis.
- Relire les news qui parlent de la durée de vie après l'avoir fini, 25 à 30h juste pour la quête principale selon les développeurs, 22h quête principale et secondaire comprise pour moi en prenant mon temps. Comme d'habitude, il faut pas se fier à ce genre d'annonce.



J'ai Kiffé :

-Le scénario soigné et prenant
-Notre Cole Phelps national
-Les coéquipiers attachants
-Les phases d'action
-L'intrigue parallèle qui fait monter le suspens
-La modélisation des visages qui permet de lire -vérité/mensonge
-Pas de prise de tête
-La Bande Son
-La Ville immense et fidèlement reproduit, qui donne vraiment l'impression de vivre à l'extérieur
-Plus de 90 véhicules et leurs conduite
-Les 40 délits qui cassent la routine
-Bonne durée de vie

J'ai pas Kiffé :

-L'absence d'interaction avec la ville et de la vie privée de Cole
-Certaines affaires qui m'ont ennuyé, et d'autres sans surprise par leurs ressemblance
-La frustration des dénouements d'un bon nombre d'affaire, et plus généralement du final du jeu.
-Suivre les sous titrages pendant plus de 21h, les américains sont avantagés, même sur les jeux uniquement Solo.
-Quelques armes de plus, ça n'aurait pas été de refus



Même si L.A Noire n'a pas su mener l'enquête parfaite pour obtenir ses 5 étoiles, il fait déjà partie de mes jeux préférés, un jeu auquel je penserais surement encore dans 2 génération de console (c'est comme ça que je compte mon age également). Rare sont les jeux qui me tiennent 3/4 heures d'affilés derrière la console et qui trouvent leur place aux panthéon du Jeu Vidéo (l'étagère en dessous ma TV, les jeux que je ne vendrais pas). Il est donc excusé et je lui mets un 5/5. Mais je me souviendrais également de sa fin décevante à mon gout et du potentiel énorme du jeu pas assez exploité.

Finissons en vidéo :

Fast and Furious 5, la Recette !

Trois Agents Secrets mais une seule Décision

Aujourd'hui même, j'ai sauvé les Etats Unis, oui, dans la peau de Sam Fisher. C'était après avoir sauvé l'humanité d'une arme biochimique grâce à 007 et à avoir reconstruit un Puzzle de mémoire pour Jason Bourne.



Ces trois jeux sont assez similaire sur la forme comme sur le fond. Vous êtes toujours un homme hyper-entrainés aux arts martiaux et aux tirs, et le but est finalement toujours le même, tuer les méchants pour sauver le monde, découvrir la vérité et vous venger.
Ce sont aussi 3 jeux de très bonne qualité ou de qualité moyenne pour d'autres, qu'on peut trouver à petit prix, encore faut il faire le bon choix.

Ils ont pris quelques chemins différents pour finalement arriver au même but. Voyons cela, rapidement par catégories, avec quelques jolies illustrations classé selon l'ordre de préférence :

SC : Conviction propose des combats très simple d'accès, puisqu'il y a juste à appuyer sur B lorsque vous êtes près d'un ennemi pour transformer son corps en charpie. Ces actions de mêlée permettent ensuite d'avoir des aides à la visée, chpoum ! dans la tête. Jouissance garantie.
La Mémoire dans la Peau, lui, est bien plus "compliqué", puisqu'il faut martyriser les touches X et Y, pour venir à bout des gardes, comme Sam Fisher, Jason Bourne peut utiliser l'environnement pendant les phases de combats pour faire très mal !

Sur ce point là, Sam préfère passer son tour, il aime le covoiturage, c'est discret. James aime les belles anglaises, pratique pour poursuivre les méchants, mais il se passe désormais des gadgets. Jason aime les balades touristiques dans Paris, dommage que la ville soit mal modélisé et que la poursuite n'apporte rien d'intéressant dans le jeu.

Nos trois espions sont plutôt bien accompagner. Mais attention aux apparences, certains de ces tigresses peuvent cacher des secrets. L'une est une traîtresse, une autre est condamné à mourir dans le prochain épisode puis la dernière nous manipule.
Mais on l'a fait pas à Sam ! Homme ou Femme, tout le monde est prier de causer sous les coups de martinet.

A ce jeu là, Sam est imbattable, faire la guerre la tête à l'envers, ça lui plait. Alors que Jason et James n'usent des raccourcis dangereux qu'uniquement pour poursuivre une cible ou se tailler le plus rapidement possible.

Ce coup ci, c'est Sam et Jason qui sont sur la même fréquence, habillé simplement pour passer inaperçu dans la foule, ils apprécient le coté pratique du sac à dos. James ayant signé des accord d'exclusivité avec Lacoste et Versace, il ne porte que des Smoking ou des polos chics.
Au niveau des accessoires, c'est le monde à l'envers, James ne jure que par son Mobile, alors que Sam est doté de bons nombres de Gadgets très utiles. Nos héros ne manquent pas de charismes. Sam devra faire attention aux cheveux blancs.

N°1
Splinter Cell : Conviction est mon préféré des trois. Un scénario entrainant, un personnage charismatique malgré une voix française pas trop en accord, mais surtout quel pied ça été de rester sur une gouttière et de plomber les clampins du dessous !
Je me souviendrais surtout de la mission en Irak, je l'ai trouvé vraiment réussi et originale. Pour le reste, la musique me collait à mon canapé dans les moments intenses, ça rajoutait pas mal de "stress". J'attends les suites des aventures de Sam avec impatience.
Si je devais changer vraiment une chose dans le jeu, ça serait le mode de visée, parce que pour moi ça été un très gros handicap de de voir viser avec le Joystick Droit ! Je pouvais pas enchaîner les ennemis comme je l'aurai voulu, et souvent, je tirais dans le tas. Acheté 15 €

N°2
Ensuite, je placerais Bloodstone, pour ces missions bien différentes par leurs environnement, et les courses poursuites plutot réussi. Par contre, le scénario n'est pas bien passionnant, j'ai pas tout suivi d'ailleurs, je me suis contenté d’enchaîner les missions. Le multi sympa 1h mais pas plus. Acheté 30 €

N°3
Et enfin, La Mémoire dans la Peau, le plus ancien des 3, qui donne presque l'impression de les avoir inspirés sur certains éléments, était bien sympa, mais certaines missions sont trop longues, alors on rajoute des couloirs ou des Boss "immortels". La mission en Mini Cooper a été pour moi une torture, c'était vraiment pas plaisant. Acheté 10 €

Centurion VS L'Aigle de la Neuvième Légion

Ce soir après avoir regardé Centurion, j'ai remarqué quelque chose d'étrange sur le Net, un film qui traite également de la 9ème Légion Romaine, disparu en Ecosse : L'Aigle de la Neuvième Légion.
Après vérification, L'Aigle de la Neuvième Légion (sortie en 2011) n'est pas une suite à Centurion (sorti en 2010). On pourrait pourtant le croire puisque, L'Aigle de la Neuvième Légion se situe après Centurion sur la frise chronologique.
Mais ce n'est pas la même production, réalisation, casting, bref rien n'a voir.
La vision des Pictes est également différente d'un film à un autre, à en juger par les bandes annonces, cela s'explique par le peu d'informations existantes sur ce peuple. A noter qu'on parle de 3000 romains morts dans Centurion et de 5000 morts dans L'Aigle de la Neuvième Légion.

En bref, tout ça pour dire que si vous vous posez la question, ces films ne sont pas des suites (en tout cas non officiel) ni un reboot du précédent.

Concernant Centurion, c'est un péplum plutot sympa à regarder, bien que ça soit pas trop ma tasse de thé, mais ça suffit à passer une soirée convenable derrière sa TV








Date de sortie cinéma : 7 juillet 2010
Réalisé par Neil Marshall
Avec Michael Fassbender, Dominic West, Olga Kurylenko...

Long-métrage britannique . Genre : Péplum , Action
Durée : 01h37min Année de production : 2010
Distributeur : Pathé Distribution
Synopsis : 117 après Jésus-Christ : l’Empire Romain règne sur tout l’Occident. Pourtant, aux confins glacés du nord de l’Angleterre, l’armée romaine se heurte à la tribu des Pictes, des barbares sanguinaires qui maîtrisent parfaitement l’environnement. Afin d’éradiquer la menace, le gouverneur local fait appel à la légendaire 9ème légion du Général Titus Virilus, le bataillon d’élite de l’Empire. Mais, contre toute attente, la cohorte se fait massacrer au cours d’une terrible embuscade et le Général est fait prisonnier. Seul le Centurion Marcus Dias et quelques survivants échappent miraculeusement au carnage. Au lieu de battre en retraite, ces guerriers solitaires décident de tenter l’impossible : s’enfoncer en territoire ennemi pour délivrer Virilus…













Date de sortie cinéma : 4 mai 2011

Réalisé par Kevin Macdonald
Avec Channing Tatum, Jamie Bell, Donald Sutherland...

Titre original : The Eagle
Durée : 01h51min Année de production : 2011
Distributeur : Metropolitan FilmExport
Synopsis : En 140 après J.-C., l’Empire romain s’étend jusqu’à l’actuelle Angleterre. Marcus Aquila, un jeune centurion, est bien décidé à restaurer l’honneur de son père, disparu mystérieusement vingt ans plus tôt avec la Neuvième Légion qu’il commandait dans le nord de l’île. On ne retrouva rien, ni des 5000 hommes, ni de leur emblème, un Aigle d’or.
Après ce drame, l’empereur Hadrien ordonna la construction d’un mur pour séparer le nord, aux mains de tribus insoumises, du reste du territoire. Pour les Romains, le mur d’Hadrien devint une frontière, l’extrême limite du monde connu.
Apprenant par une rumeur que l’Aigle d’or aurait été vu dans un temple tribal des terres du nord, Marcus décide de s’y rendre avec Esca, son esclave. Mais au-delà du mur d’Hadrien, dans les contrées inconnues et sauvages, difficile de savoir qui est à la merci de l’autre, et de révélations en découvertes, Marcus va devoir affronter les plus redoutables dangers pour avoir une chance de trouver la vérité...

Game of Thrones : Gagner ou Mourir

Ces derniers temps, niveau série TV (comme pour les Jeux Vidéo d'ailleurs), pour moi, c'est la "dèche".

Alors après avoir brièvement tenté Mad Men (2 épisodes), les Tudors (15 minutes), Borgia (tout autant), Deadwood (1 épisode) et d'autres séries qui ne m'auront fait tenir que quelques secondes. Je place tout mes espoirs sur les séries à venir, et je pense avoir de la chance, il y en a 2 qui débute ce mois-ci et qui m'ont tapé dans l'oeil.

Tout d'abord, Game of Thrones, diffusé sur HBO (Band of Brother, The Pacific, entre autre). Sa première diffusion américaine commence le 17 avril et comptera vraisemblablement 10 épisodes pour sa première saison. Une diffusion est également prévu en France sur Orange Cinéma Séries.

Synopsis : Il y a très longtemps, à une époque oubliée, une force a détruit l'équilibre des saisons. Dans un pays où l'été peut durer plusieurs années et l'hiver toute une vie, des forces sinistres et surnaturelles se pressent aux portes du Royaume de Winterfell, appartenant aux Starks, une famille controversée, pour obtenir le Trône de Fer, le symbole du pouvoir absolu.

Cette série fantastique est une adaptation d'une oeuvre littéraire : "Le Trône de fer".

Bande Annonce :



Extrait du premier épisode :



Fiche Allociné.fr

Bientôt, je ferais un petit résumé de ce qui nous attend avec la série XIII.

THE Liste de Course

Je tiens à prévenir, ce qui suis là est en quelque sorte inutile (donc indispensable comme on dit)

J'ai ramassé une liste de course trainant dans mon rayon hier, ça arrive souvent, mais là je me suis bien marré sur celle ci.

Le niveau de maniaquerie étant placé très haut, c'est de la liste de course haute gamme :

-Papier Unique (même pas un bout de papier, une enveloppe...)
-Découpage/Collage des meilleurs offres.
-Ecriture parfaite, pas une seule rayure, traits effectué à la perfection.
-Rappel des baisses de prix.
-Tri des produits par catégorie.

Enfin, voila, j'imagine juste la personne qui a fait cette liste de course comme étant un obsédé de la perfection, et comme quoi, une liste de course peut surement révéler pas mal de choses des traits de caractère d'un individu (ouh la, je pars dans l'analyse socio-politico-sismo-psychologique )





Perso, ma liste de course, c'est ma tête ! et c'est en partie pour ça que j'oublie la moitié...

Patrick Roy is Back !

Aujourd'hui parlons de politique, et plus particulièrement d'un homme, un député pas comme les autres.

Extrait de Francesoir.fr :

"Il est rare de voire une standing ovation faite par les députés de l'Assemblée nationale de tous bord politiques, pour un seul homme. Mais Patrick Roy est de retour. Veste rouge flamboyante comme à l'accoutumée, le député PS du Nord a fait une arrivée fracassante face aux parlementaires mardi lors de la séance des Questions au gouvernement. « Vous le savez je viens de traverser et je traverse une période difficile de ma vie d'homme, a-t-il commencé son intervention. Dans ce combat contre la mort, j'ai été bouleversé par le soutien de mes collègues de Gauche et du groupe socialiste exemplaires autour du président (du groupe PS de l'Assemblée Nationale) Jean-Marc Ayrault et de Martine Aubry. Ces soutiens tellement humains m'ont permis de garder toujours un moral de vainqueur », a-t-il poursuivi avant de remercier tout le monde.


Le discours au bord des larmes de Patrick Roy mardi à l'Assemblée nationale :





Patrick Roy, le député-maire PS de Denain (Nord) s'était mis en congé parlementaire lorsqu'un cancer du pancréas lui avait été diagnostiqué en octobre dernier. Après une réforme de la retraite sur laquelle il s'était éreinté en tant qu'opposant farouche, cet ancien instituteur tenait alors un discours très pessimiste. « Les médecins m'ont dit qu'il ne me restait que quelques semaines, voire quelques jours à vivre », avait-il ainsi avoué, en décembre, lors d'une réunion publique dans sa commune.

Aujourd'hui, il ne serait pas guéri mais il va « beaucoup mieux » grâce à un traitement expérimental. Mardi, Patrick Roy a donc montré qu'il n'avait pas perdu ses priorités : la « diversité musicale » et le manque de visibilité du rock métal ou du rap sur le service public. Il a également promis de revenir dès demain (mercredi) en tant qu'opposant au gouvernement. « Je ne m'intéresse pas qu'au métal : mes dossiers prioritaires sont le chômage, l'emploi, les petites retraites et le logement », a précisé celui qui figure dans le top dix des députés les plus assidus.

Une belle leçon d'humanité

Cette voix de la musique métal en politique avait déjà défendu en mars 2010 le festival Hellfest, en sortant un numéro du mensuel RockHard sous les huées des députés UMP. En juin dernier, il était monté sur scène, guitare en mains, avec le groupe de métal Mass Hysteria. Il est aussi connu pour sa manière de surnommer le ministre de l'Emploi, du Travail... « et du Chôôômaaage ». Ce qui lui valait d'être recadré par le président de l'Assemblée nationale assez souvent.



Mais après des remerciements émouvants à la classe politique de droite comme de gauche pour leurs témoignages d'affection ce mardi : « Je vous aime toutes et tous, la vie est belle », a-t-il dit, le député a vécu une deuxième standing ovation de la part de tous les députés, du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand qu'il venait de titiller une nouvelle fois, ainsi que du président de l'Assemblée nationale.


À la fin de son discours, Bernard Accoyer est venu lui adresser une nouvelle fois son affection. Le président de l'Assemblée nationale avait, en effet, déjà rendu visite à Patrick Roy à l'hôpital. Une belle leçon d'humanité."